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Un seul point sera inscrit à l’ordre du jour de cette rencontre : confirmer, officiellement, que le poste de président de la République est vacant depuis la démission publique d’Abdelaziz Bouteflika le 2 avril dernier.
En plus d’avoir été des pièces maîtresses du régime Bouteflika aux côtés de l’actuel président de l’APN, ces trois personnages sont mis en avant pour conduire une transition dont ils sont exclus de fait.
Face au refus des Bouteflika de partir, l’armée hausse le ton. Le chef d’état-major de l’armée demande de destituer “immédiatement” le chef de l’État.
Un communiqué émanant du procureur de la République confirme l’ouverture d’enquêtes judiciaires contre des hommes d’affaires. Certains sont interdits de quitter le pays.
La désignation du nouveau gouvernement s’apparente au dernier acte politique d’Abdelaziz Bouteflika avant de quitter la présidence de la République.
Le porte-parole du RND révèle que, pendant plusieurs années, “le pouvoir était concentré entre les mains de quelques individus dirigés par un seul chef d’orchestre (…)”, dans une claire allusion au frère du Président.
Les membres du comité central du FLN ne lâchent rien. Profitant de l’effacement de la direction actuelle du parti
En désignant Abdelkader Bensalah pour le représenter au sommet de la Ligue arabe à Tunis, Abdelaziz Bouteflika nargue l’armée qui réclame sa destitution pour cause de maladie grave et durable et commet ainsi un acte de défiance envers le peuple.
Un jour après avoir appelé à l’application de l’article 102 de la Constitution, le chef d’état-major de l’ANP, Ahmed Gaïd Salah, a réitéré, hier, depuis Laghouat, l’engagement de l’armée à s’astreindre à ses missions
Ironie du sort. Celui qui a fait du respect des échéances électorales presque un sacerdoce termine son long parcours présidentiel par une chute brutale, après un report anticonstitutionnel de l’élection présidentielle.