Les relations algéro-françaises semblent connaître une cordialité bien particulière comme en témoignent les échanges “chaleureux” entre les deux chefs d’État. Une ambiance qui tranche avec celle, tendue, de 2019.
Me Abdelhak Mellah décrypte la décision de la Cour suprême qui annule les peines prononcées contre Toufik, Tartag, Saïd Bouteflika et Louisa Hanoune, et fixe un nouveau procès au tribunal militaire de Blida.
Condamnés par le Tribunal militaire de Blida, Mohamed Mediène dit Toufik, Louisa Hanoune, Bachir Tartag et Saïd Bouteflika seront à nouveau jugés par le même tribunal mais avec une nouvelle composante.
Cette décision, qui concerne également les cadres des entreprises publiques, court jusqu’à “nouvel ordre”, indique Djerad. Ce dernier ne fournit aucune explication quant à cette mesure prise dans un contexte national bien particulier.
Les chiffres de contaminations inquiètent et le nombre de décès affole, la deuxième vague de coronavirus s’avère plus virulente. Les hôpitaux débordés et le personnel médical appelle les citoyens à redoubler de vigilance.
“Le président de la République française est très attaché à la relation entre la France et l'Algérie, entre nos deux États et nos deux peuples”, a affirmé le ministre français.
Le ministre français de l’Intérieur, Gerald Darmanin entame, à partir d’aujourd’hui, une visite de deux jours en Algérie.
Depuis 2018, Zoubida Assoul fait partie des responsables politiques qui ont accompagné le mouvement populaire.
Cette rencontre, qui devra regrouper tous les acteurs politiques nationaux, “permettra d’instaurer un débat démocratique pour élaborer un projet politique pour le pays”.
Après une longue bataille, la direction du FFS a la possibilité de récupérer son siège national.
Dès l’annonce des résultats du référendum portant sur la révision de la Constitution, le Rassemblement pour la culture et la démocratie a été l’un des premiers partis politiques de l’opposition à réagir.
Au lendemain du référendum sur la révision de la Constitution, le pouvoir est à la recherche d’une issue honorable.
Une dizaine de jours après l’hospitalisation du président Tebboune, la présidence de la République communique pour la première fois sur la nature de la maladie dont souffre le chef de l’État.
Observateur de la scène politique nationale, le professeur Mohamed Hennad donne, dans cet entretien, sa lecture des résultats du référendum constitutionnel livrés hier par l’Anie.
Pour beaucoup d’observateurs, l’échec de ce référendum est à mettre en partie sur le compte de la participation de ces partis politiques et organisations qui ont longtemps soutenu le régime de Bouteflika.
Hospitalisé à Cologne, en Allemagne, depuis mercredi dernier, Abdelmadjid Tebboune n’a pu accomplir lui-même l’acte de vote.
Depuis l’indépendance, l’Algérie n’a jamais connu une longue période de stabilité politique comme l’atteste la sempiternelle révision constitutionnelle.
Pour attirer l’attention des autorités algériennes sur “la détention arbitraire” de Khaled Drareni,
S’il est difficile de connaître les raisons exactes de ce désaveu, tant le système est opaque, la mise à l’écart d’Abou El-Fadhl était déjà dans l’air depuis quelques jours.
Une semaine après l’indignation provoquée par la déclaration du ministre de la Jeunesse et des Sports, Belkacem Zeghmati, garde des Sceaux, a vigoureusement recadré Sid-Ali Khaldi, mais sans le citer nommément.