La chambre d’accusation près la cour d’Alger a rejeté, hier, la demande de mise en liberté provisoire de Rachid Nekkaz,
Comme pour le marché de l’emploi, la crise sanitaire a eu un retentissement négatif sur la trésorerie de la Caisse nationale des assurances sociales (Cnas).
La crise de l’emploi a été aggravée par la pandémie de coronavirus. L’offre d’emplois en 2020 a en effet connu une baisse sensible pour se situer à environ 300 000 postes contre 437 000 proposés en 2019, selon le ministre du Travail.
“Nous avons rencontré le procureur général. Il nous a dit qu’aucune date n’est fixée pour l’examen de ce dossier”, nous a déclaré Me Nabila Silmi, membre du collectif de défense.
La constitutionnaliste Fatiha Benabbou affirme qu’il n’existe pas de mode de scrutin parfait.
Une première version du texte portant révision du code électoral devrait être distribuée aux partis politiques, dans les prochains jours, pour enrichissement.
Après plus de quatre mois de détention préventive, le procès en première instance des trois activistes, Mohamed Tadjadit, Nourredine Khimoud et Abdelhak Benrahmani,
De passage à Alger, le secrétaire d’état adjoint pour la région Mena, David Schenker, a défendu sans gêne le choix de Washington reconnaissant la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental,
Les trois détenus d’opinion, Mohamed Tadjadit, Nourredine Khimoud et Abdelhak Benrahmani, refusent d’interrompre la grève de la faim qu’ils ont entamée, il y a dix jours,
Presque cent citoyens croupissent dans des centres pénitentiaires, en mandat de dépôt ou lourdement condamnés pour délit d’opinion. Plus de mille sont poursuivis pour les mêmes chefs d’inculpation, mais laissés en liberté.
“Il se retrouve (Abdelaziz Bouteflika, ndlr) assigné à résidence”, a asséné Saïd Bouteflika, samedi, lors de son audition par le juge de siège à la cour d’appel militaire de Blida.
Zoulikha Chafika Nachinachi, qui se faisait passer auprès de la nomenklatura pour Mme Maya, “la fille cachée de l’ancien président de la République Abdelaziz Bouteflika”, a été condamnée à douze années de réclusion criminelle,
Pendant presque vingt ans, l’existence de la fille cachée d’Abdelaziz Bouteflika n’était qu’une simple rumeur, une banale usurpation d’identité.
Le procès en appel de Mme Maya, riche en révélations surprenantes, a levé le voile sur la gestion des affaires de l’État, pendant presque vingt ans, par le privilège et le fait du prince.
Le parquet a requis l’aggravation des peines contre les accusés, ainsi que la confiscation de tous leurs biens. Le collectif de défense a soutenu que Zoulikha Nachinachi “est victime de sa proximité avec le président déchu, Abdelaziz Bouteflika”.
Le mystère de sa supposée filiation avec Bouteflika a fait d’elle une femme jouissant d’une influence considérable. Des ministres et des hauts cadres de l’État ne lui refusaient aucun privilège.
Lors de son passage ce jeudi devant les sénateurs dans une séance consacrée aux questions orales, la ministre de la Famille et de la Condition de la femme, Kaoutar Krikou, a livré deux chiffres édifiants :
Il a soutenu jusqu’au bout Abdelaziz Bouteflika dans son entreprise de garder le pouvoir. L’ancien chef d’état-major, sentant le vent tourner, s’est retourné contre le Raïs avant de décapiter l’essentiel du personnel au pouvoir.
Après trois renvois de l’audience (la première en comparution directe le 7 octobre), le procès de 23 militants, arrêtés le 5 octobre 2020 à Alger-Centre, s’est ouvert hier matin au tribunal de première instance de Sidi M’hamed.
Le concept n’est pas vraiment inédit. Beaucoup d’architectes, de par le monde, ont recouru aux matériaux locaux ou d’origine dans la restauration de sites et de monuments anciens.