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Pour les besoins de cet ouvrage, Mebtoul a privilégié une analyse et une observation émanant du cœur même de la contestation, qu’il a suivie depuis Oran, depuis l’avènement du Hirak.
Contrairement à ses ouvrages antérieurs où il était question de littérature maghrébine, de l’immigration, des années 90 ou encore ceux, nombreux, consacrés à Kateb Yacine, c’est moins Bonn le chercheur, ou le professeur – même si des retours incessan
Lynda Chouiten s’est vu décerner le Grand prix dans la langue de Molière pour son roman Une valse, paru cette année aux éditions Casbah.
Ce livre, publié en octobre dernier aux éditions Barzakh, est le récit intime de l’autrice, qui fait appel à de douloureuses bribes de souvenirs de cette fatidique année 1974, année de son viol, alors qu’elle n’a que 9 ans.
Cette formation, qui a réuni du 26 novembre au 1er décembre onze musiciennes d’andalou, de rock ou encore de jazz, a été initiée par le British Council Algeria en collaboration avec l’Aarc (Agence algérienne pour le rayonnement culturel).
En vérité, cet essai, qui voit le jour après un travail de longue haleine et des difficultés liées à sa rédaction, se veut, comme dit M’hamsadji, “une réflexion simple d’un écrivain sincèrement persuadé de sa sensibilité”.
La revue critique littéraire revient enfin avec un premier numéro, consacré cette-fois à l’autofiction.
Invité au dernier Sila, Tristan Leperlier, chercheur en sociologie au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), a présenté son ouvrage “Algérie, les écrivains dans la décennie noire”.
Le réalisateur a animé une table ronde à l’Opéra d’Alger Boualem-Bessaïh où il est revenu sur l’histoire et l’évolution de la musique dans les films, en se référant à plusieurs grandes œuvres du 7e art.
Après plusieurs représentations dans des centres culturels, musées, événements socioculturels et ambassades, le spectacle théâtral interactif Aya netbadlou les rôles