Le président de l’ANIE, Mohamed Charfi, a réagi, ce dimanche, aux déclarations du président du MSP, Abderrezak Makri, qui affirmait, à travers un communiqué, que son parti était « d’ores et déjà » à la tête des élections législatives, prenant à témoin le chef de l’Etat, Abdelmadjid Tebboune, en cas de « fraude ».
Ce dernier avait également averti sur les conséquences « désastreuses » que cela pourrait avoir sur le pays, dans le cas où les résultats de l’échéance ne seraient pas en faveur de son parti.
Le président de l’ANIE a relevé, à ce propos, dans un communiqué rendu public, ce soir, une forme de « menaces » et de chantage indirect à la « violence », dans les déclarations du chef du parti islamiste.
Rédaction Web