“La libération des détenus d’opinion du Hirak est un geste d’apaisement attendu du président du République et donne l’espoir d’une perspective d’ouverture politique plus large.
Les pouvoirs publics doivent saisir cette opportunité pour mettre en place toutes les conditions légales pour que la privation de liberté pour l’expression d’une opinion ne se reproduise plus dans notre pays.
Il appartient à l’État de veiller à la préservation du droit du citoyen à la liberté et à la dignité. En toutes circonstances, seuls le dialogue, la concertation et le respect mutuel sont de nature à établir la confiance, à assurer la stabilité et à favoriser l’avènement d’une Algérie plus juste et plus forte.”