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Alors que le taux de participation au vote avancé par l’ANIE, ce matin, à 11h, à travers le territoire de la wilaya de Constantine, avoisine «6,05%», la marche anti-élection entamée à partir de 10H depuis le palais de la culture...
A Béjaïa, aucune opération de vote n'a été signée en ce jour du scrutin présidentiel. Tous les bureaux de vote ont été fermés sous la pression populaire.
Les forces anti émeutes, déployées massivement sur toutes les artères d’Alger centre, étaient visiblement instruites d’empêcher le moindre rassemblement contre l’élection présidentielle en cours.
UNE VEILLÉE A ÉTÉ ORGANISÉE HIER AU CHEF-LIEU DE WILAYA Tizi Ouzou déterminée à faire barrage pacifiquement au scrutin
Si personne ne peut réellement prévoir ce qui se passera après le scrutin, tout le monde est quasiment certain que le chef de l’État qui sera élu “n’aura aucune légitimité”.
De quoi demain sera-t-il fait ? Telle est la question que les Oranais, sans doute à l’instar de tous les Algériens, se posaient hier mercredi, à la veille d’une élection présidentielle porteuse de toutes les incertitudes.
Le rythme effréné de la contestation récusant la tenue de l’élection présidentielle sous l’égide du régime politique en place a déteint sur le climat général des dernières heures précédant le jour J dans la capitale de l’est du pays.
Il est fort à parier que les Algériens ne se rueront pas massivement vers les urnes. Pour preuve, ceux vivant à l’étranger n’ont pas été nombreux à se rendre aux bureaux de vote.
Cela pourrait être un épilogue à un processus électoral mené au pas de charge par un régime resté sourd aux clameurs d’un peuple mobilisé en masse depuis février et réclamant un changement radical
Du côté officiel, rien n’indiquait, jusqu’à hier en fin de journée, qu’à Tizi Ouzou on était à la veille d’une présidentielle.