Le ministère de l’Éducation nationale a invité au dialogue le SNCOOPEN (Syndicat national des corps communs et des ouvriers professionnels de l’éducation nationale),
Le décret fixant la consistance et les limites territoriales des wilayas nouvellement créées est la cause de cette fronde.
Liberté : Depuis jeudi dernier, la colère est montée d’un cran dans l’Ahaggar à cause de la nouvelle composition et des limites territoriales fixées par le gouvernement. Quelle est au juste la source du problème ?
La présidente de la Fédération nationale des établissements de la petite enfance (FNEPE),
Le jeûne n’a pas dissuadé la population de Kherrata à participer massivement, hier, à leur marche hebdomadaire. Pour réussir son pari,
Le commissaire divisionnaire de police Karou Yahia a été installé, hier à Tipasa,
Les élèves du lycée El-Khensa du chef-lieu de la wilaya de Tizi Ouzou,
La route jouxtant la poste Rajef-Belkacem du centre-ville de Tizi Ouzou a été fermée hier par une centaine de citoyens en colère qui ont réclamé la réouverture de ce bureau de poste pour pouvoir retirer leur argent.
Cent soixante-trois nouveaux cas confirmés de coronavirus, 117 guérisons et 4 décès ont été enregistrés ces dernières 24 heures en Algérie,
Peinés par le décès du père de leur collègue et ami Abderrahmane Ettaoui, le directeur de la publication et le collectif de Liberté
Les agents de la protection civile ont annoncé, ce samedi, des actions de protestation devant les unités principales à travers le pays, à compter de dimanche 18 avril, en raison de la « non satisfaction » de leurs doléances...
La fermeture stricte des frontières les a empêchés de jeter un dernier regard sur leurs parents décédés. Ils n'ont pas pu assister à leurs funérailles.
Dans ce message diffusé par les médias officiels, le chef de l’état ne s’étale pas sur la situation politique du pays de façon générale.
C’est un véritable cri d’alarme que viennent de lancer plusieurs organisations de défense des droits humains sur le sort réservé aux 23 jeunes militants du Hirak, en grève de la faim à la prison d’El-Harrach, à Alger, depuis le 7 avril dernier.
La pluie et le jeûne n’ont pas dissuadé des milliers d’Algériens de battre le pavé pour réitérer leur revendication d’un changement démocratique du système. À Alger, la mobilisation n’a pas faibli.
Par un froid glacial et des chutes de pluie intermittentes, les Constantinois ont réitéré pour le 8e vendredi consécutif depuis la reprise du hirak, leur attachement aux revendications du soulèvement populaire.
L’Algérie n’est pas à l’abri d’un nouveau pic de contaminations au vu de la baisse de vigilance des citoyens et du non-respect des gestes barrières.
Des centaines de citoyens, dont de nombreux jeunes commerçants de la ville de Sidi Bel-Abbès, qui se disent fortement impactés par la pandémie de Covid-19, ont battu le pavé dans nuit de jeudi 14 avril à Sidi Bel-Abbès,
“Les derniers chiffres relatifs à la pandémie de coronavirus sont un peu inquiétants. Nous devons nous mobiliser davantage pour éviter une troisième vague qui menace le monde.”
Le débrayage coïncide avec Ramadhan et la période de versement des pensions de retraite. La direction menace carrément de licencier les grévistes.