Il y a quelque temps, dans le cadre de sa thèse doctorale, Lilian F, une étudiante de l’Université de Cambridge, m’avait demandée de définir la notion de modernité. J’avais trouvé la question fort pertinente, c’est vrai, qu’est-ce donc la modernité
“Ils ne veulent plus qu’on dispose de leur destin, qu’on parle d’eux à la troisième personne et comme une collection d’objets animés.
L’incarcération d’Issad Rebrab, voilà déjà quelques semaines, avait fortement surpris la communauté économique algérienne, de même qu’elle a choqué ceux des Algériens qui le connaissaient personnellement ou ceux, encore plus nombreux
Après près de trois mois de son éclosion, l’insurrection citoyenne du 22 février se heurte désormais à la séquence cruciale, à fort enjeu décisif, de l’élaboration du contenu de l’Algérie nouvelle.
Population et élites confondent les entrepreneurs-créateurs nécessaires au bien-être et à l’avenir économique de l’Algérie avec des personnages aux valeurs douteuses, dont les pouvoirs économiques ont été le fruit d’une association illégale,
Pourquoi ces arrestations sont opérées maintenant et non auparavant ? Si ces hommes d’affaires étaient vraiment corrompus, pourquoi la justice ne s’était-elle pas manifesté avant la date du 28 février, et disons même bien avant cette date ?
La politique menée “de financement non conventionnel”, porteuse notamment d’un risque de forte inflation, véritable fléau économique et social, pourrait fragiliser davantage l’économie et appauvrir des franges importantes de la population.
De l’illégalité, il ne peut naître que l’illégalité, et l’illégitimité ne peut engendrer que l’illégitimité.
Abolition des listes électorales, supervision citoyenne et moyens technologiques pour des élections propres, crédibles et contrôlables sur internet par tous les citoyens.
Au lendemain de sa nomination comme ministre des Finances, M. Mohamed Loukal a fait publier le 1er avril par la Banque d’Algérie (BA) un document intitulé “Point de situation sur le financement non conventionnel”,
“L'indépendance de l'Algérie n'est plus la revendication politique, le rêve qui a longtemps bercé le peuple algérien courbé sous le joug de la domination française.
Faut-il accepter le respect d'une constitution bafouée au gré des circonstances par ceux-là mêmes qui nous gouvernent, alors qu'ils ont déjà planté le décor d'un retour au système dont la disparition totale est réclamée par la rue ?
Le débat doit commencer immédiatement sur les questions de société pour précisément nous éviter les grandes surprises, notamment le retour aux aventures dont nous avons connu le coût.
Dans un article paru dans le journal Liberté l’été dernier, j’ai évoqué les premières années après l’indépendance, les plus belles peut-être que j’ai vécues
C’est de l’angle macropolitique et macroéconomique, et non de la juxtaposition mécanique des actions sectorielles, d’ailleurs à faible incidence sur la croissance, que se doit d’être évalué le vrai bilan de la gouvernance de ces quatre dernières
Nous nous plaignons souvent des tares de notre système d’information économique. Non sans quelques raisons, il est vrai.
Le pays est déserté par la conviction et le dévouement. L’engagement n’est consenti que s’il est suivi par un retour sur investissement rapide et vénal. L’Histoire longue est abolie.
Le pouvoir a décidé d’aller vers un cinquième mandat (sans campagne, ni discours du principal intéressé) sous le thème “de la continuité”
Tenant de la légalité républicaine, ancien résistant torturé par la Gestapo et à Dachau, il jugeait la torture déshonorante pour la France et dégradante pour tous.
Toutes les réformes, à travers le monde, apportées au secteur des voyages furent adoptées dans l’esprit de consolider ces trois conditions que sont l'assurance responsabilité civile professionnelle