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Un billet paru dans le Radar de “Liberté” du 14 juillet dernier a attiré mon attention.
Chez nous, le terme “austérité” a été utilisé, une toute première fois, par le Premier ministre, en marge de l’inauguration de la 23e Foire de la production nationale.
Pour certains linguistes, il n’y a que des langues et non pas la langue et les dialectes.
Selon Skutnabb-Kangas, la langue maternelle est définie comme la langue première (origine), la langue avec laquelle on s’identifie, la langue avec laquelle on est identifié (identification), la langue qu’on maîtrise le mieux (compétence)
Une simple recommandation de spécialistes réunis en atelier thématique — et non une décision ministérielle — a suscité une levée de boucliers.
Chaque individu a droit à un espace pour se promener, pour jouir de la vie comme il l’entend sans se faire bousculer par les autres personnes. Nos rues ne sont pas spacieuses pour permettre à chacun de nous de jouir de ce plaisir.
Il semble que tout le monde ait oublié cela, en Algérie comme à l’étranger. Ainsi, les évènements tragiques que traverse Ghardaïa sont tantôt présentés comme un conflit entre Arabes et Berbères, tantôt comme un conflit entre sunnites et ibadites.
“Tout ce que l'on peut exiger de la loyauté d'un auteur, c'est qu'il ait cherché avec désintéressement toute la vérité, sans se préoccuper de ses conséquences, et qu'il ne traduise dans ses écrits que l'expression fidèle de ce qu'il a pu trouver.”
Le gouvernement vient de rendre publiques, à la suite du Conseil des ministres de mercredi 22 juillet 2015, les mesures retenues dans le cadre de la loi de finances complémentaire (LFC) pour l’année 2015.
La diplomatie algérienne s’est retrouvée sans alliés dans le concert des nations.