En Algérie, le multipartisme est autorisé depuis la réforme constitutionnelle de 1989.
La dimension collective et sociale de la pandémie Covid-19 questionne les rapports entre sciences sociales et la médecine. Sa régulation ne peut être que globale.
De crise sanitaire sans précédent, la Covid-19 est devenue une crise économique inédite.
“L’histoire de la longue erreur, c’est l’histoire de la représentation, l’histoire des icônes.”
Ce grand moment de gloire témoigne, à l’évidence, du lourd sacrifice consenti par nos combattants et par les hommes et les femmes du douar Ighram pour arracher l’indépendance de notre pays.
L’histoire est tragique, ce qui a commencé en mystique, finit en produits dérivés. Compréhensible, lorsqu'on jette un regard transversal sur l’histoire contemporaine de l’Algérie.
À l’heure actuelle, la chimie thérapeutique ne dispose d’aucun vaccin contre le coronavirus. Les scientifiques essayent de mettre au point une molécule efficace contre la Covid-19.
Une conscience universelle, un accomplissement majuscule, un astre des postérités. Le départ d’Idir vient d’administrer une magistrale leçon, féconde, pérenne : l’impact historique et planétaire d’une œuvre accomplie, magnifiée dans la discrétion.
L’université devient inapte à répondre aux objectifs nouveaux qu’on veut lui assigner. Particulièrement, tant que se maintient la relation sournoise et viciée entre le fonctionnement de l’université et le champ politique uniformisant,
Le monde est traversé aujourd’hui par une vague protestataire d’une rare étendue. Le crime raciste de George Floyd a secoué l’Amérique, et il n’en finit pas d’interroger sur l’état actuel des luttes.
La pandémie a mis à nu l’absence d’un système de prévention sociosanitaire de proximité, aboutissant à caractériser faussement la société par les comportements en soi de ses agents.
Ce qui le caractérise, c’est son esprit de révolte. Très jeune, il s’affirme contre toutes les tutelles qui pèsent sur lui, y compris celle de son père. Il voulait acquérir très tôt son indépendance d’esprit et d’action.
Dans les pays démocratiques, la Constitution écrite ou coutumière peut être considérée comme un contrat ou une loi fondamentale que la société accepte pour régler la vie politique de leur pays.
Face aux discours haineux de certains hommes politiques, de certains idéologues et de certains universitaires qui disent que “tamazight” ou les “Berbères” sont une création et un complot colonial,
Notre planète peut nourrir plus de population qu’aujourd’hui, à condition que les richesses naturelles soient réparties équitablement.
Rétablir la confiance, rime de transparence, en finir avec les discours flous, manipulateurs, démagogues, hypocrites et méprisants jusqu’à l’écœurement à l’égard du citoyen algérien, c’est la condition sine qua non pour aider la patrie à se redresser
Pourquoi ne pas faire de ce moment historique un mythe fondateur de la nouvelle Algérie qui se profile timidement à l’horizon ? Nous avons besoin de mythes pour transcender le temps et les peurs
La réforme de l’architecture et du système financiers est une tâche urgente à engager si on veut améliorer l’efficacité économique globale du pays et rendre la destination Algérie plus attractive.”
L’effort intellectuel, notamment en sciences humaines – déconsidérés, parce que gênantes, par un pouvoir politique fruste – n’a pas tardé à céder le pas aux idéologies de toutes sortes”
Le contexte actuel de l’économie algérienne, avec notamment la chute drastique des rentrées de devises émanant des ventes des hydrocarbures et l’effet paralysant du virus Covid-19, ne doit pas être perçu comme un frein au développement des IDE