Le collectif obtient après insistance une audience avec la ministre de la Culture et des Arts à laquelle il présente sa plateforme de revendications. Mais confronté à la bureaucratie
Le 7e art africain sera célébré à Paris, à travers le Festival “L’Afrique fait son cinéma” les 22 et 23 décembre à la salle Le Lincoln
Sahel Sounds (“les Sons du Sahel”) publie normalement des vinyles enregistrés au Mali, en Mauritanie, au Niger ou au Sénégal.
Le maître britannique du roman d'espionnage John Le Carré, qui a vendu plus de 60 millions de livres dans le monde, est décédé à l'âge de 89 ans d'une pneumonie.
Ce programme a englobé des cours de formation, des symposiums avec la participation de représentants de l’Unesco et des conférences comme celle prévue par Antonio Bravo sur la porte d’Espagne.
Nombreuses sont les publications du pédiatre et président de la Fondation nationale pour la promotion de la santé et du développement de la recherche (Forem)
Après un an d'absence en raison de la pandémie, Joaquin Cortes, l'un des danseurs les plus célèbres de la scène flamenco, est de retour sur scène avec Escencia (Essence)
Le symposium organisé par le Théâtre national algérien et l’Institut du théâtre arabe du 12 au 14 décembre ouvre le débat sur les dynamiques du 4e art algérien, sa genèse, ses spécificités, ainsi que ses défis.
Dans les années 1970, j’étais journaliste au Nouvel Observateur, spécialisé dans les mouvements de dissidence dans les pays du bloc communiste.
L’autrice de “Nulle autre voix” a animé une rencontre virtuelle inscrite sous la thématique “Paroles de femmes, écriture et engagement au féminin”, organisée par les Nations unies en Algérie.
Dans L’impopulaire, présenté comme un essai, l’auteur et chroniqueur de presse Slemnia Bendaoud a tenté de peindre un portrait au vitriol de l’ancien Premier ministre Ahmed Ouyahia, aujourd’hui en prison.
Le recueil Tinfoussine s’Tagherghrant de contes d’Ouargla et du monde, édité en variante amazighe ouarglie, est une œuvre littéraire qui est venue enrichir la scène culturelle amazighe en Algérie.
Mathieu Rigouste lève le voile dans son film-documentaire sur cet épisode quelque peu “oublié” de l’historiographie.
Le commissariat du Festival du théâtre professionnel de Guelma a commencé à réceptionner les œuvres artistiques dont les auteurs souhaitent participer à la 12e édition
Le conte imprègne la culture populaire d’Afrique du Nord. Il est aussi un élément important de la littérature orale tamazighte.
L’association culturelle “Jijel Antique” a entrepris de revisiter les anciens métiers, en ouvrant un débat virtuel autour de ces activités, qui n’ont plus cours dans l’artisanat local.
Par ces œuvres, la nouvelle génération, explique Annick Peigné-Giuly, la présidente du festival, tente “d’inventer une culture, une pensée, un cinéma politique, un cinéma décolonisé (…) affranchi du regard de l’ex-colonisateur et du ‘roman national’”
Dans son édition 2020 ce prix récompense les trois meilleures œuvres dans les domaines de la littérature (roman et poésie), du théâtre, de la musique, de la danse, des arts plastiques et du cinéma.
De la vapeur ! L’écume ! La poussière ! Bluff ! Chimères intellectuelles ! Nous sommes une société intellectuelle sans mémoire, sans ombre ! Nous mentons pour nous-mêmes, sur nous-mêmes et nous croyons en ces mensonges culturels. Mascarade !
La décision intervient à moins d’une semaine de la 15e session du Comité intergouvernemental pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, prévue sur le site de l’Unesco du 14 au 19 décembre