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Pas moins de trois rassemblements en guise d’hommage au défunt Hocine Aït Ahmed, chef historique de la Révolution algérienne et fondateur du Front des forces socialistes (FFS)...
À la veille de l’arrivée de la dépouille mortelle de Hocine Aït Ahmed prévue pour demain à 15h à l’aéroport Houari-Boumediene, la Fédération FFS de Tizi Ouzou porte à la connaissance de la population qu’une veillée funèbre à la mémoire du défunt est
IL SERA ENTERRÉ VENDREDI PROCHAIN DANS SON VILLAGE NATAL
Hocine Aït Ahmed revient dans sa région natale. Région qu’il n’a jamais quittée malgré son long exil.
Beaucoup parmi ceux qui ont accouru au siège du parti, dès l’annonce de la triste nouvelle, considèrent que l’Algérie a raté, à travers l’envergure d’Aït Ahmed, une chance inouïe de bâtir un État démocratique.
Pour le professeur Aberkane, “la soif du pouvoir, la ghettoïsation du FFS et la médiocrité ont eu raison de ses ailes de géant”.
La mort du père de l’opposition démocratique algérienne, Hocine Aït Ahmed, s’est propagée telle une traînée de poudre à Oran qui se souviendra toujours de celui qui a pris une part active aux préparatifs du braquage de la Grande-Poste d’Oran.
Jeudi 24 décembre 2015. Il est 14h30. Une couche de brume recouvre le centre-ville de Béni Ourtilane, perché sur une colline, à 80 km au nord de Sétif. Seules les cafétérias étaient bondées de monde en cette journée glaciale.
“Il avait du respect pour les vrais militants, mais n’avait aucune estime pour les usurpateurs politiques.”
Après l’annonce du décès de Hocine Aït Ahmed, les réactions se sont immédiatement enchaînées sur les médias sociaux. Que ce soit sur facebook ou sur Twitter beaucoup d’Algériens ont affiché leur peine(...)