La reprise des cours du brut a été l’occasion pour les producteurs américains de remettre leurs plateformes de forage en activité, très affectées par la chute des prix amorcée depuis le début de l’année en cours.
Les cours du brut enchaînaient, hier, une nouvelle séance de hausse, se hissant à des niveaux jamais vus depuis février 2020, aidés par les récentes mesures de l’Opep+ ainsi que par le regain d’optimisme sur la demande mondiale de pétrole.
Les faibles revenus des entreprises, qui ont sévèrement chuté en 2020 en raison du choc pandémique et du déclin de l’activité économique, pourraient être totalement siphonnés sous l’effet d’un coût fiscal élevé.
Le système fiscal algérien n'est ni équitable, ni efficace, ni lisible, d'où la fuite systématique devant l'impôt. Il est donc important de réfléchir à une réforme sérieuse et profonde de ce système avant d'entamer le débat
Pour le ministre de l’Industrie, l’audit des groupes publics et de leurs filiales qui vient d’être finalisé permet d’identifier les paris à relever et le mode opératoire.
La Banque d’Algérie revient à la charge pour dispenser, à nouveau, les banques de l’obligation de constituer des réserves de sécurité.
Selon le ministre de l’Industrie, l’endettement du secteur public est estimé à 40 milliards de dollars, tous secteurs confondus.
Le gouvernement planche sur la gestion des subventions et la réorientation des aides de l’État vers les couches sociales les plus démunies. Le ministre des Finances, Aymen Benabderrahmane,
Les membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) se sont réunis, hier, avec leurs partenaires non-Opep, afin de fixer leur niveau de production pour février.
Le mandat des administrateurs provisoires désignés à la tête des entreprises dont les patrons sont poursuivis par la justice, a donné lieu à de nombreuses anomalies.
Les objectifs de rigueur budgétaire ont été remis à plus tard ; les dépenses s’inscrivant à la hausse, tout comme les déficits publics.
Après 2020, qui aura été une année catastrophique pour l’économie nationale, les arbitrages attendus du gouvernement seront déterminants pour faire face aux graves crises que traverse le pays.
Les banques n’ont pas de réel pouvoir décisionnel dans l’octroi de certains crédits, ce qui aggrave l’accumulation de créances douteuses et d’impayés.
Liberté : L’Union européenne (UE) et le Royaume-Uni viennent de parvenir à un accord sur le Brexit à l’issue d’âpres négociations.
Le Royaume-Uni ne devra plus être assujetti aux dispositions de l’Accord d’association qui fixait depuis 2005 le cadre de coopération entre l’Algérie et l’Union européenne (UE).
Le ministre de l’Énergie, Abdelmadjid Attar, a indiqué, avant-hier, qu’“une réflexion est en cours au niveau des hautes autorités de l’État sur une possibilité d’augmenter les prix pour les tranches importantes de consommation d’électricité ou de gaz
Les exportations d’hydrocarbures devraient se chiffrer à la fin de cette année à 22 milliards de dollars seulement, provoquant une perte sèche de plus de 13 milliards de dollars au budget de l’Etat.
Les cambistes du square Port-Saïd ne sont que la partie visible d’un réseau dont le niveau de sophistication est tel qu’il est véritablement illusoire de penser que la force publique pourrait venir à bout de ce marché.
Liberté : Le choc pandémique provoqué par la propagation du Covid-19 a eu des conséquences néfastes sur l’industrie pétrolière mondiale, à peine remise des conséquences de la chute des prix de 2014.
Alors que les banques sont replongées depuis le début de l’année dans une situation de sous-liquidité ; celle-ci reculant à 916,7 milliards de dinars à fin mai 2020, la Banque centrale a aussitôt corrigé ses recommandations aux banquiers de la place,