Francis Perrin : Le comité conjoint de surveillance Opep/non-Opep (JMMC en anglais) se réunit effectivement dans le contexte que vous avez décrit, et ce contexte pèsera forcément sur ses travaux à Alger.
Le cartel et ses partenaires non-Opep font face à une nouvelle salve du président américain qui a exhorté, jeudi, les producteurs à baisser leurs prix “maintenant”.
Dans son classement mondial des pays par indice de développement humain (IDH), le Pnud vient de placer l’Algérie dans le Top 3 africain ayant un niveau “élevé” de développement.
Le président américain fait du chantage à la sécurité contre les monarchies du Golfe, qui sont parmi les plus grands producteurs.
L’Iran accuse certains producteurs d’être au service des États-Unis, notamment l’Arabie saoudite.
La réunion du comité conjoint de monitoring Opep-non Opep se tiendra dimanche 23 septembre à Alger.
L’Algérie est condamnée à développer et à investir dans les énergies renouvelables parce qu’il y va de sa sécurité énergétique. Le mix énergétique devient ainsi incontournable.
Organisé par Kooteo, le premier salon dédié au e-commerce et au paiement électronique a ouvert ses portes, hier, au Cyberparc de Sidi Abdellah.
Hier, au square Port-Saïd, un euro valait 210 DA et un dollar s’échangeait contre 179 DA.
Les exportations algériennes à destination du royaume ibérique ont crû de +21,66% durant les sept premiers mois de l’année.
L’essor qu’a connu la surfacturation a accentué de manière exponentielle l’offre en devises qui, à son tour, a favorisé la thésaurisation en monnaies étrangères et le transfert de devises à l’étranger.
Badreddine Nouioua : Il est impératif d’analyser, d’abord, le phénomène à la base ; le marché informel des devises existe parce que nous avons une réglementation des changes extrêmement rigide et qui favorise
Sonatrach est actuellement en négociation avec des poids lourds mondiaux en vue de créer une joint-venture spécialisée dans le raffinage et le négoce international.
Les tirages de monnaie effectués par la Banque d’Algérie au profit du Trésor public étaient arrêtés à 3 585 milliards de dinars au 30 juin 2018, lit-on dans les situations mensuelles de la Banque centrale, publiées au Journal officiel n°49.
Si la tendance se maintient, elle devrait accroître les difficultés du pays à remplir ses promesses vis-à-vis de ses clients étrangers, dont l’Espagne et l’Italie.
Dans cet entretien, Yassine Benadda, économiste, analyse les principales mesures budgétaires et fiscales contenues dans l’avant-projet de loi de finances 2019, dont nous avons pu obtenir une copie.
Le gouvernement, qui vient de revoir à la baisse les dépenses d’équipement au titre du prochain exercice, s’expose au risque d’un grave ralentissement de la croissance en 2019(...)
Avec cette lutte annoncée contre certains fléaux économiques qui grèvent la marge de manœuvre du Trésor public, les fraudeurs sont désormais dans le collimateur de l’administration fiscale.
L’Université d’été du mouvement patronal français (Medef) était l’occasion pour le patron du groupe Cevital, Issad Rebrab
Au rayon des fléaux ciblés, figurent l’évasion fiscale, l’endettement fictif des entreprises auprès de sociétés de services établies à l’étranger, la délocalisation d’une part de la base taxable des entreprises, les transferts de devises…