Les données compilées dans les rapports annuels des banques confirment la bonne capitalisation de certains établissements, tandis que d’autres barbotent encore dans des fragilités permanentes qui remontent à quelques années déjà.
Liberté : Le gouvernement vient d’annoncer son intention d’introduire en Bourse deux des banques publiques.
La Libye devient un facteur d’inquiétude pour l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep).
Le gouvernement envisage de lancer une ultime opération de rachat des créances détenues par les banques sur certaines entreprises publiques.
Liberté : Les entreprises publiques font désormais face à d’importants problèmes de trésorerie, alors que les ressources financières du pays s’amenuisent.
Les interférences politico-bureaucratiques entravent l’action des dirigeants des entreprises économiques publiques.
Liberté : L’Eniem est à l’arrêt, faute de financements. Mais il ne s’agit que de la face visible d’un secteur public économique budgétivore et peu viable.
L’option d’une ouverture du capital via le marché boursier concernera uniquement les entreprises en difficulté, nécessitant des recapitalisations cycliques, selon le ministre de l’Industrie.
Nouvelle semaine de dégringolade pour le dinar qui signe un nouveau plancher face à l’euro.
Souhil Meddah : Il faut rappeler qu’avec des institutions de taille aussi importante, dont le capital nominal serait, par exemple, de 20 milliards de dinars ou plus, une ouverture minimale de 20%
Le secteur bancaire national reste marqué par l’archaïsme de la gestion, les mauvaises créances et les crises récurrentes de liquidités. À défaut de réformes structurelles
Face aux pressions que subit la balance des paiements, le gouvernement se saisit à nouveau du levier bancaire pour réduire les importations des consommables alimentaires et non alimentaires.
Depuis l’introduction dans la loi de finances 2020 de l’impôt sur le patrimoine (ISP), dont la valeur évolue de 100 000 à 500 000 DA, aucun bilan n’a été jusqu’ici établi de ce que l’on considérait comme une taxe sur la fortune.
La glissade de la monnaie nationale s’accélère cette semaine, comme le montrent les cotations hebdomadaires communiquées, hier, par la Banque d’Algérie.
Les producteurs de pétrole, membres de l’Opep+, s’acheminent droit vers l’extension au-delà de janvier prochain du niveau actuel de réduction de leur production.
Les produits des contributions directes et les produits des impôts divers sur les affaires devraient peser pour deux tiers dans les recettes ordinaires de l’Algérie, prévues pour 2021.
La privatisation partielle des banques publiques est peu réalisable sans que le difficile travail de nettoyage de leurs bilans et de leurs créances improductives soit opéré au préalable.
Dans cette interview, Omar Berkouk réagit à la décision du gouvernement d’ouvrir le capital des banques publiques, à la faisabilité de cette démarche, ainsi qu’aux raisons essentielles ayant motivé cette décision.
Les ventes algériennes de gaz naturel devraient reculer de 4,7% cette année, en raison de la baisse de la demande européenne et de la pression de la concurrence.
La dynamique de reprise des plateformes de schiste aux États-Unis a marqué une pause la semaine écoulée avec un décompte hebdomadaire désormais en tendance baissière.