Liberté : Planche à billets, production de plus de 6 500 milliards de dinars, dépréciation de la monnaie nationale... depuis 2016,
Depuis 2016, la Banque centrale a perdu le peu d’autonomie dont elle disposait encore face aux injonctions des politiques.
C’est à un véritable plaidoyer en faveur d’une Opep du gaz que s’est adonné le ministre de l’Énergie, Abdelmadjid Attar, dans une interview à S&P Global Platts.
Les poids lourds du marché pétrolier, l’Arabie saoudite, la Russie et les États-Unis, ont augmenté leur production, alors que la reprise de l’économie mondiale tarde à avoir lieu.
La production de pétrole des pays de l’Opep a augmenté de plus d'un million de barils par jour (b/j) en juillet.
Spécialiste reconnu des questions énergétiques, Ali Kefaïfi aborde dans cet entretien la problématique liée au développement du domaine minier en Algérie.
Un plan, actuellement en cours de préparation, propose une exploitation de toutes les réserves minérales en investissant dans une chaîne de valeurs impliquant des investisseurs locaux et étrangers.
Face à la volatilité chronique des cours du brut et à un marché de plus en plus capricieux, l’Exécutif entend accélérer l’exploitation des réserves minérales du pays, histoire de quêter de nouvelles sources en devises.
Omar Bessaoud suggère quelques pistes de réflexion pour permettre à l’Algérie de réduire sa dépendance alimentaire vis-à-vis des marchés extérieurs.
Après avoir perdu ces dernières de son influence, l’Opep semble reprendre du poil de la bête et damer le pion à l’industrie américaine de schiste qui connaît un de ses pires moments.
Liberté : Les importations de carburants ont augmenté de +181,14%, à 465,46 millions de dollars durant le premier trimestre de l’année, contre 165,56 millions de dollars à la même période de 2019.
Le retour à la planche à billets s’annonce comme inévitable, compte tenu de l’état de la liquidité bancaire et de l’absence de parechocs financiers en interne outre que la production monétaire.
Le déficit global de la balance des paiements s’est chiffré à 2,5 milliards de dollars durant le 1er trimestre de l’année en cours, contre un déficit de 5,9 milliards de dollars à la même période de l’année 2019, se contractant ainsi de 57%,
L’assureur-crédit français note que les pays exportateurs de matières premières sont ceux dont le solde budgétaire devrait le plus se détériorer cette année.
Dans les pays exportateurs de pétrole de la région Mena, la croissance devrait reculer de 5% en raison de la chute des prix du pétrole, contre une croissance de 2% annoncée dans les prévisions de janvier.
À l’exception du Mexique, tous les pays de l’Opep+ ont accepté de réduire leur offre de 9,7 millions de barils par jour jusqu’à fin juillet.
Le gouvernement table sur un déficit budgétaire de 10,4% du PIB dans ses dernières prévisions, soit -1 976,9 milliards de dinars
Sur le marché parallèle, la percée de l’euro et du dollar se justifie par les promesses d’une reprise plus tôt que prévu des liaisons aériennes au fur et à mesure que les États déconfinent.
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) tiendra deux réunions ministérielles les 9 et 10 juin prochain pour évaluer l’impact des baisses de production sur le marché pétrolier, dont le premier mois d’application a expiré hier.
Depuis janvier, 461 puits de pétrole ont été fermés aux États-Unis, faute de rentabilité, soit environ deux tiers du parc américainde plateformes de forage.