“La médecine a toujours été gratuite en Algérie (…) Le vaccin contre la Covid-19 sera donc forcément gratuit pour toutes les catégories de la population”, a affirmé le ministre.
Le président du RCD estime qu’à travers sa personne, c’est son parti qui est la cible d’une “cabale politique”.
La réunion du conseil national du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) qui devait se tenir vendredi 25 septembre n’aura finalement pas lieu.
L’offensive diplomatique que menait Alger sur le dossier malien — le chef de la diplomatie algérienne s’est rendu à deux reprises à Bamako en moins d’un mois — pour aider ce pays voisin à renouer avec l’ordre constitutionnel et la stabilité
Avec cette action, le PAD compte réclamer l’arrêt de “la politique de répression tous azimuts qui frappe la jeunesse, les travailleurs, les journalistes…”.
Jamais rentrée scolaire n’aura été aussi hypothétique, voire cacophonique, que la cuvée 2020-2021.
L’institut n’assume, actuellement, que très peu, voire pas du tout sa vocation de laboratoire d’idées, en ne produisant presque plus aucune réflexion sur la société algérienne ou sur les politiques publiques.
C’est un changement à dose homéopathique que le président Tebboune est en train d’imprimer à l’appareil de l’État.
Destinés à soulager les couches défavorisées, les fonds gérés par le ministère de la Solidarité nationale ont été détournés de leur vocation, comme l’a révélé le procès des deux anciens ministres Saïd Barkat et Djamel Ould Abbes.
Au troisième jour du procès de l’affaire de la dilapidation de l’argent de la solidarité nationale, de “sévères” peines oscillant entre 2 et 12 ans ont été requises à l’encontre des différents protagonistes de ce gros scandale financier,
Côté prévention sanitaire, quatre protocoles sanitaires ont été élaborés par le ministère de la Santé dans le but de protéger les candidats et les encadreurs.
Il a fallu deux jours, mercredi et jeudi, au juge en charge de l’affaire de la dilapidation des fonds de la Solidarité nationale pour entendre les deux anciens ministres du secteur Djamel Ould Abbes et Saïd Barkat et les 21 autres protagonistes
Poursuivis, notamment, pour “détournement du fonds de solidarité” et “détournement de biens publics”, les deux anciens responsables en charge du secteur sont appelés à la barre pour s’expliquer.
L’intention réformiste des auteurs de ce texte apparaît clairement dans certains articles visant à réduire, un tant soit peu, les pouvoirs exorbitants dont jouissait jusqu’ici le chef de l’État et d’accorder plus de droits aux citoyens.
“Le changement revendiqué par le Hirak populaire est, certes, un changement pacifique, mais radical qui passe par la Constitution, le socle de l'État”, a expliqué le président Tebboune.
La polémique qui a accompagné certaines propositions contenues dans la mouture de révision constitutionnelle concoctée par le Comité Laraba n’a pas eu raison de la détermination du président Tebboune à aller au bout de son entreprise de toilettage de
Cette coalition de partis démocratiques estime que le prochain référendum “ne peut en aucun cas constituer une solution durable à la crise politique que vit le pays”.
S’il a provoqué un choc dans l’opinion publique nationale et dans une frange de la classe politique, le scandale de l’achat des premières places sur les listes électorales du FLN aux législatives de 2017,
Ces agissements sont condamnés par la loi qui interdit formellement aux membres du gouvernement de se mêler de la vie d’un parti politique.
Le gouvernement a toutefois laissé toute latitude aux différents walis de prendre les mesures qui s’imposent dans leurs wilayas respectives, en fonction de l’amélioration ou de la dégradation de la situation sanitaire.