Et c’est un Lakhdar Bouregâa, bon pied bon œil, et le verbe facile, qui nous reçoit chez lui. Sans protocole aucun. Loin du ballet des visiteurs qui ont accouru à son domicile à sa sortie de prison.
Le pays poursuit inexorablement son enlisement dans la crise politico-militaire.
Il a commencé son parcours initiatique par l’Afghanistan et l’achève dans le désert du Nord Mali. Il a réussi néanmoins, faut-il le lui reconnaître, après tant d’années d’activités terroristes, à se mettre à dos tout le peuple algérien.
L’Algérie ne changera pas fondamentalement sa doctrine militaire, à la lumière de la mouture de la nouvelle Constitution qui vient d’être rendue publique.
Ses propos à l’occasion de l’installation des directeurs des services de renseignement intérieur et extérieur n’étaient qu’un avant-goût de sa méthode qui tranche nettement avec celle de son prédécesseur dans le poste.
Pour faire face à la spéculation et à la flambée des prix de la pomme de terre, le gouvernement a décidé de déstocker 12 000 tonnes. Son prix est plafonné à 40 DA le kg
Il nous a quittés, le début de l’année à peine entamé. Il est parti en silence, ce 1er janvier, laissant en héritage à tous ceux qui l’ont connu ses rêves et ses désirs
Parti avec le handicap du déficit de légitimité populaire, mais aussi avec le poids de l’armée dont le chef, le défunt Ahmed Gaïd Salah, avait fait de l’ombre à tous les responsables politiques, particulièrement depuis avril dernier,
Ceux qui ont répondu à l’appel pour une convergence vers Oran à l’occasion du 44e vendredi de mobilisation n’ont pas pu tous rallier la capitale de l’Ouest.
C’est un homme certes affaibli par l’intervention chirurgicale qu’il a subie et les conditions de son incarcération que les membres de sa famille
La Ligue algérienne de défense des droits de l’Homme (Laddh) déplore la persistance du régime dans ses pratiques antidémocratiques
Le président de l’État par intérim a, dans sa dernière offre de dialogue, marqué un recul en faisant ce qui s’apparente, à première vue,
Le chef de l’État par intérim et ses soutiens au sein du pouvoir ont eu droit à une nouvelle salve de slogans, on ne peut plus clairs, réitérant l’attachement du mouvement du 22 février à la transition hors du système.
Par sa décision appel, le chef d’état-major de l’ANP, le général de corps d’armée Ahmed Gaïd Salah
Spontanément, des jeunes ont rapidement investi la rue pour dénoncer la candidature de Bouteflika et réclamer le départ du système. La manifestation a superbement brisé la nuit de la citadelle d’Alger.
Dans son discours d’hier au deuxième jour de sa visite à Tamanrasset, le général de corps d’armée, chef d’état-major et vice-ministre de la Défense, Ahmed Gaïd Salah, a changé de ton.
La presse étrangère continue de braquer les yeux sur la situation politique de l’Algérie.
Le timing choisi par le roi du Maroc, Mohammed VI, pour faire “son offre” de normalisation avec l’Algérie semble plutôt incongru dans la mesure où son discours intervient à l’occasion de l’anniversaire de la marche verte.
Les États ne disposent ni de forces militaires formées et équipées ni de plan stratégique pour assécher “ce gisement” de radicalisation à travers notamment des projets de développement.
La prolifération des points de vente, la non-application de la réglementation interdisant la consommation du tabac dans les lieux publics, la vente de cigarettes à l’unité, etc.