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Le président du RCD, Mohcine Belabbas, a clarifié, hier, ses propos quant à la candidature du général-major Ali Ghediri.
Le coordinateur national du PNC s’élève contre la quasi-non-utilisation du Fonds national cancer, alimenté par différentes taxes, censées, dit-il, financer la formation des personnels spécialisés, la biologie moléculaire ou encore l’oncologie.
Après avoir retracé le parcours du défunt et loué son mérite d’avoir servi le pays, l’imam n’a pas omis d’implorer Dieu Tout-Puissant de “prêter santé au Président, le moudjahid Abdelaziz Bouteflika, et de prolonger sa vie”.
Serait-il le candidat de l’Armée ou tout simplement un “lièvre” choisi par le système pour crédibiliser cette échéance et pallier l’absence de sérieux candidats concurrents à celui du régime ? Ni l’un ni l’autre, répond-il.
Comme attendu, Abderrezak Makri, président du Mouvement de la société pour la paix, (MSP),
Aboudjerra Soltani, qui a officiellement attesté de son désintérêt à se porter candidat à la candidature au nom de son parti, laisse la voie libre au président Makri.
“La Hiise est la première expérience en Algérie. Donc, elle est encore à la phase expérimentale”, a-t-il tenté de justifier.
Le Parti de la liberté et de la justice (PLJ), de l’ancien ministre de la Communication, Mohamed Saïd, ne participera pas à l’élection présidentielle du 18 avril prochain.
“Participer à cette élection est surtout un moyen de tenter de minimiser les dégâts pour l’Algérie, sachant que cette élection se présente comme un danger pour le pays”, a-t-il justifié.
La SG du PT a précisé que la position du parti par rapport à la présidentielle sera tranchée par le bureau politique et le comité central qui se réuniront, successivement, dans les jours qui viennent.