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Au moment où l’opinion guette la fin des incertitudes qui entourent le scrutin présidentiel, la sortie de Bedoui y ajoute une couche de brouillard.
À seulement trois mois du scrutin présidentiel, les Algériens ne semblent guère emballés par cette joute électorale censée être la plus importante dans la vie politique d’un pays.
La présidente de l’Union pour le changement, (UPC), parti membre du mouvement Mouwatana, Zoubida Assoul
Elles appellent à “la levée du diktat de l’administration” ainsi qu’à “l’assouplissement des procédures de constitution et de fonctionnement des associations”.
à l’instar de son classement dans bien d’autres domaines, l’Algérie vient à la traîne en termes de démocratie dans le monde. Selon le classement annuel établi par l’organisme The Economist Intelligence Unit
Pour le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP), l’option d’un 5e mandat pour Bouteflika se dessinerait plus que jamais et l’armée serait prête à le cautionner.
De l’avis de l’officier supérieur à la retraite, l’intervention du premier responsable de l’armée s’imposerait plus que jamais pour sauver le pays d’une violation de la Constitution qui peut s’avérer fatale pour la nation.
L’appel surprise au report de l’élection présidentielle d’avril 2019, lancé tel un pavé dans la mare, par le chef du Mouvement de la société pour la paix (MSP), Abderrezak Makri
La constitutionaliste Fatiha Benabbou a fait, hier, un constat sans appel sur la loi fondamentale du pays.
Le président Bouteflika a-t-il le droit de briguer un cinquième mandat ? “Le cinquième mandat est constitutionnellement impossible !” répond la constitutionnaliste Fatiha Benabbou