Si l’argument financier évoqué dans le projet compte tenu de l’amenuisement des ressources financières peut paraître logique, ce n’est nullement le cas des “critères” pour sélectionner les artistes à convier.
Inscrite sous le slogan “Un livre, une vie”, cette première édition du salon, initiée par l’Organisation nationale des éditeurs de livres (Onel), aura lieu du 11 au 20 mars au Palais des expositions des Pins-Maritimes (Safex).
Le festival international de Carthage est l’un des événements musicaux phares en Afrique et sur la scène internationale.
Loin des studios d’enregistrement et des résidences d’écriture, ces chanteurs en herbe contestataires écrivent dans la rue, sur une terrasse où dans un café, pour porter la voix d’une jeunesse marginalisée, brimée, oubliée par le système Bouteflika.
Pour cette édition en version digitale qui se tient jusqu’au 16 mars, des écrivains des deux rives échangeront autour de la littérature et de la poésie. Le premier podcast a été consacré aux écrivaines Souad Labbize et Alessandra Fagioli (Italie).
Le “Trans-Saharan Artistic Mobility Fund” permet aux “artistes et écrivains algériens lauréats du programme de mobilité de bénéficier d’un billet d’avion aller-retour pour participer à un événement culturel organisé dans un pays africain”.
Dans cet ouvrage coécrit par Sanhadja Akrouf et Patrick Farbiaz, les deux militants de gauche tentent d’apporter “un éclairage sur la révolution en cours, qui a suscité l’admiration par son caractère pacifique et son civisme”.
Pour la reprise de ses activités, l’Institut français d’Alger a présenté le film franco-algérien de Maïwenn, qui vient de décrocher le prix de la meilleure mise en scène au festival des lumières de la presse internationale.
Cet ouvrage de 176 pages offre un voyage dans cette ville à travers son histoire, sa culture et son patrimoine.
Cet ouvrage de 192 pages est composé de 14 textes entre témoignages, fictions et récits proposés par des auteurs d’horizons divers (militants, écrivains, architectes, psychologues, étudiants ou journalistes).
“Afri’Cask” est un programme de playlist hebdomadaire, qui permet aux internautes de découvrir les “nouvelles tendances musicales du continent africain”.
Pour Agostino Mulas, “les réfugiés constituent un groupe spécifiquement défini et protégé par le droit international, car la situation dans leur pays d’origine rend impossible un retour chez eux.
Très active sur le terrain de l’action humanitaire, l’association algérienne Green Tea est depuis trois ans partenaire du Haut-Commissariat aux Réfugiés (HCR).
Dans sa veste rouge, la jeune femme semble porter le monde sur ses épaules.
Doctorante en études cinématographiques de l’Université Paris 3-Sorbonne Nouvelle, Mathilde Rouxel revient dans cet entretien sur “le cinéma de lutte réalisé par des femmes”, à l’exemple d’Assia Djebar avec “La Nouba des femmes du mont Chenoua”.
Délégué général du Festival “L’Afrique fait son cinéma à Paris”, Blaise Pascal Tanguy revient dans cet entretien sur cet évènement qui est à sa deuxième édition, ses objectifs
Contrairement aux années précédentes, la célébration des fêtes de fin d’année s’est déroulée dans des conditions particulières en raison notamment des contraintes liées à la crise sanitaire.
Primée dans les festivals “Vues D’Afrique” (Montréal) et “Image et vie de Dakar”, l’Algéro-Canadienne Sara Nacer a porté la révolution à l’international avec son documentaire Yetnahaw Ga3 (qu’ils partent tous).
Cette convention de partenariat et de suivi pédagogique a été signée, hier, par Mohamed Yahiaoui et Mohamed Boukerras au TNA. Cette collaboration englobe plusieurs points qui permettront notamment aux étudiants de prendre part à des expériences profe
Cette galerie qui “adopte” une nouvelle approche de l’art contemporain dans un espace numérique présente, jusqu’au 31 janvier, l’exposition “Paysages virtuels” de l’artiste ukrainien, Stepan Ryabchenko, dont le travail couvre l’architecture conceptue