L’aveu lâché par Ahmed Ouyahia n’est en réalité qu’un bout de l’étendue d’une dérive mafieuse de la caste qui a gouverné le pays durant des décennies. Choqués, les Algériens sont en droit de tout savoir sur le mal infligé au pays.
Il fut l’homme politique qui a le plus duré dans les travées du pouvoir. De tous les responsables algériens, il est celui qui cristallisait toutes les rancœurs contre le régime.
Les événements politico-judiciaires qui se déroulent en ce moment semblent indiquer une recomposition progressive des rapports de force au sein du sérail.
Cette nouvelle initiative est visiblement motivée par la situation de grande impasse politique.
De par son caractère inédit et son ampleur, la pandémie de Covid-19, dont le premier cas a été révélé il y a une année en Chine, a, sans aucun doute, mis le monde à rude épreuve.
Le FFS ne se fait guère d’illusions : les principales dispositions de la loi de finances 2021 adoptée hier par le Parlement, dans un contexte de crise sanitaire et d’une situation politico-économique délétère,
Les positions partiales exprimées par les pays arabes sur les incidents de Guerguerat éloignent davantage l’Algérie du monde arabe.
Natif de Tlemcen en 1928, Abdelkader Guerroudj a fait partie des “combattants de la libération”, appelés aussi “maquis rouge”, ce groupe de guérilla créé par le Parti communiste pour lutter contre le colonialisme.
S’il est entendu que les autorités ne peuvent assumer ce cuisant revers, il est à se demander s’il ne les contraint pas à adopter désormais une nouvelle approche de sortie de crise.
Le taux d’abstention historique enregistré lors du référendum constitutionnel a fait l’effet d’une onde de choc politique dans le pays. Une situation qui appelle des révisions déchirantes.
Le scrutin n’aura pas drainé grand monde, du moins dans les proportions souhaitées par les autorités, selon le constat de nombre de nos correspondants à travers les wilayas du pays.
Pierre angulaire du programme électoral d’Abdelmadjid Tebboune, cette révision intervient dans un contexte sans doute inédit.
Engagée dans un contexte de crispation politique et de crise sanitaire défavorable, la campagne électorale pour le projet de révision de la Constitution n’a pas drainé les masses.
Il n’y aura ni manifestations ni appels au boycott des produits français. Contrairement à certaines capitales de pays musulmans, Alger s’est montrée “mesurée”
“Le président de la République poursuit ses activités quotidiennes depuis son lieu d’hospitalisation”, a précisé le communiqué de la présidence de la République.
Figure emblématique du mouvement populaire, le “Hirak”, le militant politique et coordinateur de l’UDS (parti non encore agréé), Karim Tabbou, devra prendre son mal en patience.
Même s’il s’agit, a priori, d’une précaution, la décision du staff médical de la présidence de la République préconisant le confinement volontaire au chef de l’État, Abdelmadjid Tebboune
Le communiqué est autant surprenant qu’inattendu. Malgré toutes les précautions prises, la campagne de sensibilisation menée par le Comité scientifique dès l’apparition de l’épidémie fin février dernier et les appels à la vigilance
Lorsqu’en mai 2019, la secrétaire générale du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, a été placée sous mandat de dépôt pour un présumé “complot contre l’État” et “atteinte à l’autorité de l’armée”,
Auteur prolifique, particulièrement de sociologie religieuse consacrée à l’islam, Arkoun a joué un rôle de premier plan dans l’évolution de la compréhension de l’islam par l’Occident.