“Quand les éboueurs font grève, les orduriers sont indignés”, ne croyait pas si bien dire le grand poète Jacques Prévert.
Le plus vieux parti de l’opposition en Algérie est-il devenu un simple satellite du pouvoir ? La question méritait assurément d’être posée !
Alors que l’on assiste à une prolifération sans précédent de chaînes télévisées en Algérie et à une ouverture, sous contrôle, du champ audiovisuel depuis janvier 2014
Pour l’orateur, les énergies propres sont aujourd’hui la seule transition énergétique possible. En Algérie et ailleurs !
Pour une grande partie de l’opposition, le pouvoir en Algérie est un mal absolu. Pour certains, un mal nécessaire…
Les Algériens savent, à présent, de quoi l’homme est capable pour garder le pouvoir. Cela étant, le pays est descendu aujourd’hui trop bas…
Pour l’islamologue, on ne peut plus considérer aujourd’hui l'islam comme une simple religion. Le fait religieux est devenu une revendication identitaire, un phénomène sociopolitique, un dérapage, une dérive mondiale...
Après que l’Algérie est devenue un pays sans usines, c’est aujourd’hui un pays déserté par les touristes. Pourquoi ? Une tentative d’explication par deux grands experts nationaux.
Quand on est au pouvoir en Algérie, votre vérité devient “la Vérité”, mais jusqu’à… un certain niveau du prix du pétrole seulement !
La question de fond est qu’au-delà des aspects techniques et géopolitiques incontournables, pourquoi les dirigeants du pays n’ont pas à proprement parler aujourd’hui de stratégie ? La raison est pourtant toute simple…
Dans leur constat sans concession sur l’université algérienne, Fatma Oussedik, professeur de sociologie, Khaoula Taleb Ibrahimi, professeur de linguistique, et Louisa Dris-Aït Hamadouche(...)
Cette façon de voir les choses implique que le gouvernement n’a pas de “droit de regard” sur la presse.
Parmi les premiers griefs exposés dès l’annonce de cette loi portant création d’un fonds de pension alimentaire, l’aggravation supposée du nombre de divorces en Algérie. De faux divorces, s’entend.
“Chronique des années de braise” était le fruit d’un processus, d’une démarche que l’Algérie, aujourd’hui déboussolée, n’a plus.
La récente polémique en France au sujet de l’usine Renault en Algérie vient remettre sévèrement en cause “l’attractivité” économique de l’Algérie, un pays qui dépense aujourd’hui sans compter.
Dans cet entretien, l’ancien soldat de l’armée française déplore la chape de plomb politique qui pèse sur l’écriture de l’histoire contemporaine.
L’Algérie n’est pas seulement un marché formidable pour les productions étrangères, on veut en faire aussi un “bon gendarme”.
Comment écrire notre roman national au-delà de l’instrumentalisation de l’histoire ? Voilà un défi qui incombe déjà aux générations futures !
Le directeur général du groupe industriel Sider et président du conseil d’administration (CA) d’ArcelorMittal Algérie (AMA), Ahmed Benabbas, vient d’adresser au secrétaire général de l’UGTA, Abdelmadjid Sidi-Saïd
Le ministre des Travaux publics a prévenu que l’usager devra passer à la caisse pour pouvoir emprunter l’autoroute la plus chère du monde.