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Jusque-là objet de multiples sollicitudes, la diaspora algérienne est désormais devenue indésirable.
Si, dans son préambule, l’avant-projet constitutionnel consacre d’emblée “l’alternance démocratique par la voie d’élections libres et régulières”
Il reste seulement à espérer, et ce, à l’heure même de “l’austérité”, que ces institutions ne se transforment pas en de simples coquilles vides budgétivores.
Le président de la République a noté, une fois encore, le caractère sévère de la crise et a appelé les Algériens à y adapter leur mode de consommation.
Difficile de ne pas établir de lien entre la publication de cette étude aujourd’hui et les velléités gouvernementales quant à la suppression, du moins dans leur version actuelle, des subventions à la consommation des produits alimentaires de base.
Dans une conférence-débat animée jeudi dernier à l’Institut français d’Annaba
En cédant ses actions à l’État, ArcelorMittal veut gagner, semble-t-il, sur tous les tableaux.
Dans son “intrusion médiatique”, le général Toufik avait anticipé les risques d’un retour de commentaires qui viendrait “dévoyer” sinon “détourner” l’objet de sa missive. Perspicace, le vieux briscard avait vu juste !
Si l’on s’en tient aux propos de l’ancien ministre de la Défense sur la condamnation du général Hassan, nous sommes bel et bien dans une phase ascendante de cette fameuse guerre des clans qui n’aurait plus rien d’une vue de l’esprit.
Nombre d’observateurs mettent en cause la politique extérieure de la France qui, selon cette assertion, lui fait payer aujourd’hui ses “errements”. Le journaliste français Jacques-Marie Bourget est de ceux-là !