Résumé : Nazim se réveille d’un profond sommeil lorsqu’il surprend une conversation qui lui glace les os. Ses sœurs se lamentent. Nadia, l’aînée, n’en revient pas… Son frère était si beau.
Résumé : Nazim se rappelle tout à coup de son accident et de Feriel. Il sursaute à cette évocation. Sa fiancée était-elle en vie ? Il tente de se relever, mais ne le peut pas.
Résumé : Nazim reprend connaissance. Il a du mal à ouvrir les yeux et sent la douleur se réveiller dans tout son corps. La présence de sa mère à ses côtés l’émeut profondément. Il comprend qu’il est mal en point. Le médecin tente de le rassurer.
Résumé : Comme elle l’avait pressenti, Feriel est latéralement anéantie par les propos insensibles de sa mère. Cette dernière est venue la chercher et lui a tenu une conversation des plus insensées, avant de lui ordonner de s’habiller et de quitter l
Résumé : Feriel ne sait plus à quel saint se vouer. Elle pressent déjà la réaction de Nazim qui refusera à coup sûr sa “pitié”. Mais elle sait aussi qu’elle ne devrait pas l’abandonner alors qu’il aura besoin d’elle plus que jamais. Hélas !
Résumé : Feriel apprend la terrible nouvelle : Nazim n’a plus de visage. Il sera condamné à vivre avec un visage mutilé, lui qui était si beau. Elle a encore du mal à croire qu’il y a à peine quelques jours ils discutaient encore de leur projet.
Résumé : Feriel est de plus en plus inquiète. Que lui cache-t-on donc au sujet de Nazim ? Avait-il succombé à ses blessures ? Son père lui avait suggéré d’accepter son sort et de s’en remettre à son destin.
Résumé : Feriel méditait sur son sort lorsqu’un crissement de pneus la tire de ses réflexions. Elle se sent projetée en avant et se retrouve loin du véhicule. Des gens accourent, et elle entend une explosion, avant de perdre connaissance.
Résumé : Feriel entame une discussion avec son fiancé. Ce dernier ne reconnaît plus la fille insouciante qu’il avait connue.
Résumé : Nazim et Feriel déjeunaient dans un restaurant. Ils s’étaient retrouvés pour discuter de leur mariage proche. La jeune femme n’admet pas le fait de devoir vivre sous le même toit que sa belle-famille. Mais Nazim ne veut pas en démordre. Il v
Nazim regarde Feriel dans les yeux : - Alors, que décides-tu ? Feriel repousse sa tasse de café et se passe une main dans les cheveux, avant de répondre : - Tu as déjà tout planifié, à ce que je vois.
Résumé : Ratibe me lit le message de grand-père. Un testament de sagesse qui ne trompe pas sur la personnalité de mon aïeul. Mon fils, encore jeune, doit suivre les recommandations d’un homme mûr qui a su gérer son existence.
Résumé : Ratibe venait d’avoir ses 18 ans. Je décidai alors de lui remettre l’enveloppe laissée à son intention par mon grand-père. Il fut étonné et agréablement surpris d’en connaître le contenu. Curieuse, je voulais tout savoir sur ce message.
Résumé : Ma grand-mère Zahra venait de mourir, et le chagrin que j’en ressentais était immense. J’étais si attachée à elle. Elle personnifiait mon enfance et mes jours heureux à la ferme. Comment pourrais-je oublier une femme telle qu’elle ?
Résumé : Avant de mourir, ma grand-mère Zahra me confia une enveloppe à l’intention de mon fils aîné, et dont il ne devrait prendre connaissance qu’à l’âge adulte. C’est-à-dire à ses dix-huit ans.
Résumé : Ma grand-mère Zahra se faisait vieille et ne quittait plus son lit. Nous décidâmes Hacène et moi d’aller lui rendre visite. Elle était heureuse de nous revoir et n’a cessé de me parler des temps anciens
Résumé : Hacène est enfin hors de danger ! Un vrai miracle, si j’en juge par l’accident qu’il venait d’avoir. Les médecins sont optimistes quant à son état général. C’était un soulagement pour nous tous.
Résumé : J’étais épuisée, mais Hacène était hors de danger. Je décidai alors de rentrer chez moi pour un moment. Mon fils Ratibe m’attendait. Il voulait avoir des nouvelles de son père ou, mieux encore, m’accompagner à l’hôpital.
Résumé : Ma discussion avec Samir m’avait remonté le moral. Je décidai tout de même de maintenir ma garde auprès de mon mari. Ce dernier a fini par reprendre connaissance, mais son état demeurait critique.
Résumé : Samir était un ami d’enfance dont j’ai fini par me rappeler. Il avait partagé mes jeux à la ferme et mangé les mêmes plats que moi. Des années durant, on s’était perdus de vue. Cela m’avait fait plaisir de le revoir.