Président de l’Association des producteurs algériens de boissons (Apab), Ali Hamani tire la sonnette d’alarme quant aux difficultés que rencontrent et la production et la vente de boissons alcoolisées en ces temps de pandémie.
Les prix du gaz alternaient en 2020 entre hausse et baisse. Ainsi, au cours du premier semestre,
Le Cerefe note que “les installations de génération d’électricité à base de ressources renouvelables connectées au réseau, réalisées à ce jour, relèvent de programmes initiés par des institutions publiques”.
Selon le Commissariat aux énergies renouvelables, aucune évaluation rigoureuse n’a été menée quant à l’impact du programme national d’efficacité énergétique.
L’Algérie attend, comme d’autres pays pétroliers, d’avoir plus de visibilité, avant de se lancer dans des programmes d’exploration via des appels d’offres internationaux.
Le ministre de l’Énergie, Abdelmadjid Attar, a indiqué que “la production des hydrocarbures actuelle du pays se situe autour de 864 000 barils par jour”.
Compte tenu des prévisions de l’offre et de la demande, des investissements significatifs sont nécessaires dans l’ensemble de l’industrie pétrolière pour mettre en équilibre ces deux éléments.
Toufik Hakkar a indiqué que les revenus pétroliers d e la compagnie nationale s’établiront à “ 20 milliards de dollars en 2020. Ce qui correspond à une chute de 40% par rapport à l’exercice 2019”.
Alors que les cours du pétrole reprennent des couleurs, dépassant légèrement la barre symbolique des 50 dollars, la demande de pétrole fait figure de rabat-joie en continuant de se ralentir.
L’Algérie augmentera ses capacités de raffinage “d’environ 310 000 barils par jour (mbj) d’ici à 2024”, selon le dernier rapport de GlobalData, un organisme de référence reconnu dans la collecte et l’analyse de données dans de nombreux secteurs,
Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février a grimpé, avant-hier, de 2,84% à 50,25 dollars, un seuil jamais atteint depuis le 6 mars 2020.
Un protocole d’accord, portant sur l’élaboration d’une feuille de route fixant les démarches nécessaires en vue d’un ou de plusieurs contrats d’hydrocarbures dans le bassin de Berkine,
Compte tenu des incertitudes persistantes sur les perspectives économiques mondiales, liées en grande partie à la propagation du coronavirus dans le monde, l’Opep+ reste prudente dans ses décisions d’ajustement
Les prix du pétrole sont de nouveau à la baisse, après avoir connu une correction mineure ascendante, liée à l’euphorie suscitée par l’accord signé, jeudi dernier, par l’Opep+ après une série de négociations très serrées.
La Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf), dont le lancement effectif est prévu début 2021, constitue pour l’Algérie un choix “stratégique”,
L’accord d’avril 2020 a été révisé et modifié, notamment ses dispositions concernant les niveaux de baisse de production.
Les treize membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) réunis, lundi 30 novembre, par visioconférence, ne sont pas parvenus à dégager un consensus autour du prolongement du niveau actuel de la baisse de production,
Les cours mondiaux du pétrole suivaient hier une tendance à la baisse. Ainsi, à la mi-journée, le baril de Brent pour livraison en janvier,
Selon le ministre de l’Énergie, Abdelmadjid Attar, il y aurait déjà un “consensus” au sein de l’Opep pour reconduire le niveau actuel de diminution de la production pétrolière.
Le marché pétrolier n’a pas encore retrouvé le chemin de l’équilibre et les prix du Brent restent encore très volatiles.