Un émigré, qui a investi ses économies dans une centrale d’achats en laitages et produits frais (Coprafrais), située dans la zone d'activité de Fréha (daïra d’Azazga), risque de voir son entreprise dissoute et ses équipements vendus aux enchères. Bloqué en France depuis mars 2019 en raison de la crise sanitaire, le jeune entrepreneur n’a pu honorer le délai de remboursement de ses dettes envers la Banque nationale d’Algérie (BNA). Actionnée en référé par la banque, la justice a désigné un huissier qui a fait l’inventaire des biens de l’entreprise avant sa dissolution. Cette centrale d’achat ultramoderne, construite aux normes internationales, a été inaugurée en mars 2017 par le wali de Tizi Ouzou, qui avait vivement félicité le jeune entrepreneur pour son “patriotisme et son esprit d’innovation”. Menacé de faillite, le jeune émigré ne demande rien d’autre qu’un échéancier pour honorer ses engagements vis-à-vis de la banque dès l’ouverture des frontières et la reprise de son activité.
Radar SON GéRANT ÉTANT BLOQUé EN FRANCE POUR CAUSE DE COVID-19
Une entreprise risque d’être vendue aux enchères
Farid BELGACEM Publié 09 Février 2021 à 09:10
Mumtimedia Plus
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Editorial Un air de "LIBERTÉ" s’en va
Aujourd’hui, vous avez entre les mains le numéro 9050 de votre quotidien Liberté. C’est, malheureusement, le dernier. Après trente ans, Liberté disparaît du paysage médiatique algérien. Des milliers de foyers en seront privés, ainsi que les institutions dont les responsables avouent commencer la lecture par notre titre pour une simple raison ; c’est qu’il est différent des autres.
Abrous OUTOUDERT Publié 14 Avril 2022 à 12:00
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Chroniques DROIT DE REGARD Trajectoire d’un chroniqueur en… Liberté
Pour cette édition de clôture, il m’a été demandé de revenir sur ma carrière de chroniqueur dans ce quotidien.
Mustapha HAMMOUCHE Publié 14 Avril 2022 à 12:00