À Boghni, touristes et amoureux de la montagne affluent de différentes régions du pays pour admirer les merveilles dont Dame Nature a gratifié la chaîne du Djurdjura.
Dans sa veste rouge, la jeune femme semble porter le monde sur ses épaules.
Très active sur le terrain de l’action humanitaire, l’association algérienne Green Tea est depuis trois ans partenaire du Haut-Commissariat aux Réfugiés (HCR).
Tibboura, Tala Amrane, Tachwit, Tamaksawt, Taghzout, Tifarine, Timsirt, Danes, Gar Ougalmime, Baânsar… La toponymie de la région, à cheval entre Blida et Médéa, fait vivre une culture et des traditions millénaires.
Malgré le potentiel important de la filière oléicole en Algérie, l’huile d’olive locale peine toujours à se frayer un chemin dans le marché international et à s’imposer face aux produits des autres pays du pourtour méditerranéen.
Alors que des prévisions pessimistes sont annoncées pour la production de l’huile d’olive à Jijel, des voix se sont multipliées pour appeler à la promotion de la filière oléicole.
Si vous êtes de passage dans la wilaya de Mascara et que l’idée de vous approvisionner en olives ou huile d’olive vous passe par la tête, il faut se diriger vers la ville de Sig
Le spectre du chômage n’a pas été éloigné. Il hante encore et toujours ces centaines de jeunes qui, dans leurs misérables mechtas, n’ont d’autre alternative que de s’engager dans l’un ou l’autre des corps constitués
Classée au patrimoine mondial de l'humanité depuis 1992, haut lieu d’histoire, la Casbah d’Alger n’est plus cette citadelle imprenable. Elle tombe en ruine. Les multiples projets pour sa sauvegarde n’ont pas pu stopper sa décrépitude.
Il y a une véritable volonté politique de sauvegarde du site à travers un plan d’action prioritaire, mis en place depuis 2014. Dans ce plan, environ 200 biens immobiliers sont pris en charge, dont des monuments majeurs (les palais et les mosquées)
Aomar Zetili consomme son cinquième mandat à la tête de l’Assemblée populaire communale de La Casbah. Volubile, il égrène, sans détours, les problèmes qu’il rencontre dans la gestion de cette collectivité locale, au statut particulier.
Des familles sont revenues, d’autres veulent suivre le même chemin, après avoir quitté leur village durant la décennie noire. Mais dans cette bourgade perchée sur les monts jijéliens
Cette année, le phénomène de la harga a particulièrement frappé les esprits. Il a surtout endeuillé beaucoup de familles algériennes.
Après sa labellisation, la filière est en quête de soutien pour donner un nouveau souffle à son développement.
Ici, chaque famille est directement ou indirectement impliquée dans cette activité, qui assure un emploi, fut-il saisonnier.
La maladie n’épargne quasiment plus aucun foyer ou localité à Jijel. Le personnel hospitalier, épuisé par un travail presque forcé sur le front de la lutte continue contre la Covid-19, reste malgré tout mobilisé.
Au lieu de la chrétieneté qui porte le nom de la figure la plus influente du monde chrétien, l’Algérien Saint-Augustin, la cathédrale éponyme – rénovée – trône souverainement sur Annaba en étalant sa beauté architecturale.
Pour pouvoir sortir la filière de l’ornière, les différents acteurs plaident pour des réformes de fond, tout en appelant les partenaires du secteur dattier à changer de stratégie de travail.
Au sommet, atteint après plus de deux heures d’ascension, la température ne dépasse point zéro degré, et le vent glacial qui souffle en rafales brûle les visages.
Des populations entières sont abandonnées à un destin précaire, sans eau, ni électricité, ni routes, ni couverture sanitaire, ni moyens de subsistance. En haute montagne, la vie est encore à son stade rudimentaire.