Classée au patrimoine mondial de l'humanité depuis 1992, haut lieu d’histoire, la Casbah d’Alger n’est plus cette citadelle imprenable. Elle tombe en ruine. Les multiples projets pour sa sauvegarde n’ont pas pu stopper sa décrépitude.
Il y a une véritable volonté politique de sauvegarde du site à travers un plan d’action prioritaire, mis en place depuis 2014. Dans ce plan, environ 200 biens immobiliers sont pris en charge, dont des monuments majeurs (les palais et les mosquées)
Aomar Zetili consomme son cinquième mandat à la tête de l’Assemblée populaire communale de La Casbah. Volubile, il égrène, sans détours, les problèmes qu’il rencontre dans la gestion de cette collectivité locale, au statut particulier.
Des familles sont revenues, d’autres veulent suivre le même chemin, après avoir quitté leur village durant la décennie noire. Mais dans cette bourgade perchée sur les monts jijéliens
Cette année, le phénomène de la harga a particulièrement frappé les esprits. Il a surtout endeuillé beaucoup de familles algériennes.
Après sa labellisation, la filière est en quête de soutien pour donner un nouveau souffle à son développement.
Ici, chaque famille est directement ou indirectement impliquée dans cette activité, qui assure un emploi, fut-il saisonnier.
La maladie n’épargne quasiment plus aucun foyer ou localité à Jijel. Le personnel hospitalier, épuisé par un travail presque forcé sur le front de la lutte continue contre la Covid-19, reste malgré tout mobilisé.
Au lieu de la chrétieneté qui porte le nom de la figure la plus influente du monde chrétien, l’Algérien Saint-Augustin, la cathédrale éponyme – rénovée – trône souverainement sur Annaba en étalant sa beauté architecturale.
Pour pouvoir sortir la filière de l’ornière, les différents acteurs plaident pour des réformes de fond, tout en appelant les partenaires du secteur dattier à changer de stratégie de travail.
Au sommet, atteint après plus de deux heures d’ascension, la température ne dépasse point zéro degré, et le vent glacial qui souffle en rafales brûle les visages.
Des populations entières sont abandonnées à un destin précaire, sans eau, ni électricité, ni routes, ni couverture sanitaire, ni moyens de subsistance. En haute montagne, la vie est encore à son stade rudimentaire.
Les habitants de cette cité, qui compte près de 2 350 chalets, sont exposés aux maladies qu’ils peuvent contracter à cause des chalets, construits avec de l’amiante, dans lesquels ils vivent depuis des décennies.
Les voyagistes qui ont fait le déplacement d’Oran, de Annaba, de Constantine, de Souk Ahras, de Skikda, d’Alger, etc., ont été certes émerveillés et envoûtés par la beauté du site mais aussi frappés par l’état d’insalubrité qui y règne.
Le village Aguemoune Nath Ammar (commune de Taourirt Ighil) est sorti de l’anonymat depuis jeudi dernier en remportant le premier prix du concours du village le plus propre organisé par l'APW de Béjaïa.
Au moment où l’indignation après le crime abject de la jeune Chaïma, brûlée après avoir été violée, se poursuit, des femmes, jeunes et vieilles, loin des feux de la rampe, s’engagent dans la bataille contre l’archaïsme.
Faute de débouchés pour leurs produits maraîchers, les agriculteurs, se sont convertis dans la culture de la verveine. Un retour aux sources.
Le foncier et l’absence d’un centre de collecte des déchets des huileries freinent l’extension du projet.
Aujourd’hui, c’est à coups de klaxon que les colporteurs informent de leur passage dans les quartiers qu’ils se sont presque répartis comme une zone d’activité.
Youcef Sebti a consacré à l’oued des vers pour ses crues. Une région d’une cruelle beauté, dirait-on, qui aujourd’hui devient une vallée avalée par l’acier.