Sports C'est la seconde fois en deux mois

El-Kouki suspendu un match

  • Placeholder

Rachid ABBAD Publié 28 Mai 2021 à 21:11

L'entraîneur tunisien de l’Entente de Sétif, Nabil El-Kouki, est suspendu par la commission de discipline de la LFP pour un match ferme pour mauvais comportement envers officiel. Il est donc interdit du terrain et des vestiaires pour la prochaine sortie de l’équipe. Même son adjoint Farid Delhoum est lui aussi suspendu pour un match ferme et une amende de 30 000 DA. Le leader du championnat va ainsi compter sur son préparateur physique pour coacher l’équipe sur la main courante à l’occasion de la réception du NAHD demain. La sanction des deux techniciens tunisiens est survenue à la dernière minute de jeu, lorsque l'arbitre fédéral Farouk Mial avait accordé un penalty au NC Magra à la 90' du jeu, jugé sévère, mais lorsque El-Kouki avait vu les séquences sur la télévision, il avait reconnu que le penalty était valable. C'est la seconde sanction pour El-Kouki, après celle face au WAT lors de la 19e journée où les Sétifiens avaient gagné par 4 à 1 en mars dernier. La commission de discipline de la LFP l'avait sanctionné pour un match ferme et une amende de 30 000 DA.

Par ailleurs, le joueur du RC Relizane Neche Khaled a écopé de 3 matchs de suspension, dont un avec sursis, plus une amende de 30 000 DA, en sus de l’avertissement reçu lors de la rencontre comptabilisé comme simple avertissement pour “voie de fait”. Rabie Meftah (NAHD) et Nessakh (CRB), expulsés lors du derby NAHD-CRB, ont été suspendus 2 matchs plus une amende de 30 000 DA. Il est utile de souligner que le CSC, l’OM, le NA Hussein Dey et le CR Belouizdad devront s'acquitter d'une amende de 40 000 DA pour “conduite incorrecte de l'équipe”. Le Nasria s'est vu infliger une seconde amende de 50 000 DA pour “mauvaise organisation”, alors que le Paradou AC a écopé d'une amende de 300 000 DA pour “manque d’hygiène dans les vestiaires des arbitres et de l’équipe visiteuse”.

R. A.

  • Editorial Un air de "LIBERTÉ" s’en va

    Aujourd’hui, vous avez entre les mains le numéro 9050 de votre quotidien Liberté. C’est, malheureusement, le dernier. Après trente ans, Liberté disparaît du paysage médiatique algérien. Des milliers de foyers en seront privés, ainsi que les institutions dont les responsables avouent commencer la lecture par notre titre pour une simple raison ; c’est qu’il est différent des autres.

    • Placeholder

    Abrous OUTOUDERT Publié 14 Avril 2022 à 12:00

  • Chroniques DROIT DE REGARD Trajectoire d’un chroniqueur en… Liberté

    Pour cette édition de clôture, il m’a été demandé de revenir sur ma carrière de chroniqueur dans ce quotidien.

    • Placeholder

    Mustapha HAMMOUCHE Publié 14 Avril 2022 à 12:00