L’Actualité 2e ÉDITION DU CONCOURS DES VILLAGES LES PLUS PROPRES DE LA WILAYA DE BÉJAÏA

Aourir d’Akfadou décroche le premier prix

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Kamal OUHNIA Publié 03 Novembre 2021 à 10:43

Le rideau est tombé, hier, sur la 2e édition du concours des villages les plus propres qu’organise l'Assemblée populaire de la wilaya (APW) de Béjaïa. À l’issue de la cérémonie de remise des prix aux lauréats de cette compétition environnementale, tenue, hier, à la salle des congrès de la wilaya, le village d’Aourir relevant de la commune d’Akfadou, dans la daïra de Chemini, a été sacré “village le plus propre” de la wilaya de Béjaïa, en décrochant le premier prix estimé à 5 millions de dinars. Il sera talonné par le village de Seddouk Ouadda (Seddouk) qui s'est adjugé le deuxième prix fixé à 3,5 millions de dinars. La troisième place, dont le prix s’élève à 2,5 millions de dinars, est revenue au village de Cheurfa, situé dans la commune de Taourirt Ighil, dans la daïra d’Adekar.

À noter que sur une soixantaine de villages ayant pris part à cette 2e édition, huit ont été classés par ordre de mérite par les membres de la commission d’évaluation du concours des villages les plus propres, composée essentiellement d’élus de l’APW, de représentants des Directions de l’environnement, de la culture et du tourisme. Par ailleurs, les responsables de l’APW de Béjaïa ont pris l’initiative de sacrifier cette année les prix dédiés aux quartiers les plus propres et celui de l’excellence, en vue de faire un geste honorable au profit d’une dizaine de villages “sinistrés”, sérieusement impactés par les incendies dévastateurs du mois d’août dernier.

Il s’agit des villages de Tardam, d’Achelouf et de Tala-Hiba (Toudja), d’Aït Smaïl (El-Kseur), d’Ikhetaven (Adekar) Aliouène (Aokas), d’Aït Sidi-Ali (Barbacha), de Tadart Tamokrante (Amizour), d’Afroun Chikh (Kendira) et enfin, d’Ifoughalen (Boukhelifa). Chacun de ces dix villages sinistrés va bénéficier, selon les membres de la commission de l’APW de Béjaïa, d’une aide financière estimée à 100 millions de centimes.

 


KAMAL OUHNIA

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