Sports Il a rendez- vous, aujourd'hui avec Ould Zemirli

Meftah-NAHD, les raisons du contentieux

  • Placeholder

Rachid ABBAD Publié 04 Juillet 2021 à 21:06

© D.R
© D.R

Meftah avait une belle offre d'un club saoudien, mais Ould Zemirli a refusé de le libérer car il avait besoin de ses services, notamment en cette période où le NAHD flirte avec la relégation. 

L'affaire Rabie Meftah prend de plus en plus de l’ampleur. En effet, n'ayant pas fait le déplacement avec son équipe le NAHD jeudi passé à Magra pour disputer le match face au NCM pour le compte de la 28e journée que son équipe avait perdu par 1 à 0. 

Voulant reprendre les entraînements avec l’équipe, il a été empêché de reprendre du service jusqu'à son audition par le président Bachir Ould Zemirli, avec laequel il a rendez-vous aujourd'hui pour mettre un terme au conflit qui ronge les deux parties. Meftah avait décidé de boycotter le déplacement avec l'équipe selon nos sources en raison de l'ultimatum qu'il a fixé à la direction du club pour le régulariser conformément à l'accord entre les deux parties. Ne voyant rien venir, il a mis à exécution ses menaces. 

Toujours- est-il que Meftah avait une belle offre d'un club Saoudien, mais Ould Zemirli a refusé de le libérer car il avait besoin de ses services, notamment en cette période où le NAHD flirte avec la relégation, en contrepartie, le président s'est engagé à le régulariser dans les délais qu'il lui a été fixés par le joueur en question, chose qu'il n'a pu respecter d'où la grosse colère de l'ex-Usmiste. Notons que l'ensemble des joueurs n'est toujours pas régularisé et attend ses salaires depuis 6 mois.

La subvention de la mairie de Hussein-Dey n'a pas encore été versée. Les membres du conseil communal sont partagés entre ceux qui sont favorables et ceux qui sont contre. En attendant la délibération prochaine, le NAHD risque de couler comme fut le cas la saison passée, où il a été sauvé par la pandémie du covid-19, lorsque la FAF avait annulé la relégation.

 


RACHID ABBAD

  • Editorial Un air de "LIBERTÉ" s’en va

    Aujourd’hui, vous avez entre les mains le numéro 9050 de votre quotidien Liberté. C’est, malheureusement, le dernier. Après trente ans, Liberté disparaît du paysage médiatique algérien. Des milliers de foyers en seront privés, ainsi que les institutions dont les responsables avouent commencer la lecture par notre titre pour une simple raison ; c’est qu’il est différent des autres.

    • Placeholder

    Abrous OUTOUDERT Publié 14 Avril 2022 à 12:00

  • Chroniques DROIT DE REGARD Trajectoire d’un chroniqueur en… Liberté

    Pour cette édition de clôture, il m’a été demandé de revenir sur ma carrière de chroniqueur dans ce quotidien.

    • Placeholder

    Mustapha HAMMOUCHE Publié 14 Avril 2022 à 12:00