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L’Algérie s’apprête à vivre aujourd’hui une journée chargée d’incertitudes.
Dans une étude publiée tout récemment, l’Agence nationale de développement des investissements (Andi)
S’il reste encore des observateurs pouvant encore cultiver assez de candeur pour croire que l’Algérie connaîtra un scrutin régulier le 18 avril prochain
Conçue comme une bouée de sauvetage pour un système qui a grillé toutes ses cartes au bout d’un règne qui n’a pas encore révélé tous ses méfaits sur la société algérienne, la candidature de Bouteflika
D’aucuns le savaient, mais c’est mieux quand c’est Ahmed Ouyahia, secrétaire général du Rassemblement national démocratique et Premier ministre
C’est au moment où l’option d’un 5e mandat pour Bouteflika se fait plus précise que jamais, que les différents acteurs de l’opposition affichent nettement leurs divisions. Ils ont, certes, et à peu de choses près
Après avoir ébauché des options pour la succession au président Bouteflika, finalement et fatalement seule celle de la continuité pourrait l’emporter.
Au moment où une bonne partie de la classe politique continue de se perdre en conjectures, incapable de percevoir le moindre indice quant à l’évolution de la situation politique dans le pays
Le long règne — quatre mandats quinquennaux successifs depuis avril 1999 — du Président sortant a fait des dégâts difficilement réparables.
Premier postulant à se déclarer partant pour la présidentielle du 18 avril prochain, Ali Ghediri a fait hier sa première sortie publique. Invité au Forum de Liberté
Va-t-on assister à la réédition du scénario de 2014 à l’occasion de la présidentielle ? Les metteurs en scène sont déjà à pied d’œuvre, à en croire les fervents partisans du 5e mandat pour Bouteflika.