Culture Après un an d’arrêt dû à la pandémie de coronavirus

La Maison de la culture d’Aïn Témouchent renoue avec les spectacles

  • Placeholder

M. LARADJ Publié 08 Février 2021 à 08:50

© D.R
© D.R

La maison de la culture Aïssa-Messaoudi de Aïn Témouchent a abrité, mercredi dernier, une pièce de théâtre pour enfants intitulée Le facteur, et ce, après un arrêt de ce genre de manifestation qui a duré toute une année. Chalabi Kadda, réalisateur de cette pièce théâtrale, a considéré que ce retour à la scène du théâtre sera le début effectif d’une nouvelle ère.

“Je suis très content de cette première représentation qui a eu lieu en ce début d’année 2021, après une suspension d’une année entière due à la propagation de la pandémie de coronavirus. J’ai l’impression que je viens de naître à nouveau dans la mesure où l’artiste a été isolé malgré lui à la suite de la fermeture des salles de spectacles.

Dieu merci, j’ai pu voir ce bonheur dans les yeux des enfants et de leurs parents. C’est extraordinaire”, a-t-il déclaré à l’issue du spectacle. De leur côté, les enfants qui faisaient partie d’une assistance nombreuse ayant renoué avec le spectacle, n’ont pas caché leur joie. Ils ont suivi avec attention cette pièce, se concentrant aussi bien sur le sens du message qu’a voulu apporter “le facteur” qu’à la richesse des couleurs de la scène et de la musique qui l’avaient accompagnée. Pour rappel, la maison de la culture

Aïssa-Messaoudi d’Aïn Témouchent a poursuivi ses activités à l’occasion des vacances scolaires d’hiver. Pour préserver la santé du public, un protocole sanitaire rigoureux a été mis enplace, se basant sur la distanciation sociale et le port du masque, comme l’avait indiqué Benahmed Rahmouna, chargée des activités auprès de l’établissement. Elle a précisé que trois spectacles avaient été programmés à l’occasion des vacances d’hiver.

Le premier spectacle a eu lieu le 31 janvier dernier, le second, la pièce Le facteur, a été présenté mardi, alors que le troisième spectacle de la coopérative Kateb-Yacine de la wilaya de Sidi Bel-Abbès était prévu pour la fin des vacances scolaires.  

 


M. LARADJ

  • Editorial Un air de "LIBERTÉ" s’en va

    Aujourd’hui, vous avez entre les mains le numéro 9050 de votre quotidien Liberté. C’est, malheureusement, le dernier. Après trente ans, Liberté disparaît du paysage médiatique algérien. Des milliers de foyers en seront privés, ainsi que les institutions dont les responsables avouent commencer la lecture par notre titre pour une simple raison ; c’est qu’il est différent des autres.

    • Placeholder

    Abrous OUTOUDERT Publié 14 Avril 2022 à 12:00

  • Chroniques DROIT DE REGARD Trajectoire d’un chroniqueur en… Liberté

    Pour cette édition de clôture, il m’a été demandé de revenir sur ma carrière de chroniqueur dans ce quotidien.

    • Placeholder

    Mustapha HAMMOUCHE Publié 14 Avril 2022 à 12:00