
Entamée depuis quelques jours, la protestation des étudiantes-résidentes de la Cité universitaire de jeunes filles de Ben Aknoun pour dénoncer les mauvaises conditions d’hébergement, notamment la surcharge, le non-respect du protocole sanitaire et la défectuosité des systèmes de chauffage, s’est poursuivie encore ce week-end.
S’estimant victimes de “hogra”, elles réclament l’intervention de l’administration pour la prise en charge de leurs problèmes. Cette protestation intervient alors que le ministère de tutelle venait d’installer une commission de 16 membres pour la réforme des œuvres universitaires, à travers ses quatre segments, notamment la bourse, l’hébergement, la restauration et le transport.