
■ L’Algérie ne figure pas sur la liste noire des États-Unis en matière de liberté religieuse dans le monde. C’est ce qui ressort d’un communiqué récemment rendu public par le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, qui prépare un voyage en Afrique.
Selon ce diplomate, l’Algérie – à l’instar des Comores, de Cuba et du Nicaragua – est placée sur la liste intermédiaire des États “sous surveillance”.
En revanche, l’Arabie saoudite, la Birmanie, la Chine, la Corée du Nord, l’Érythrée, l’Iran, le Pakistan, le Tadjikistan et le Turkménistan “sont désignés comme des pays ayant perpétré ou toléré des violations flagrantes, systématiques et persistantes de la liberté religieuse”.
Du reste, le pays de l’Oncle Sam a, officiellement, ajouté la Russie sur la liste noire des “pays particulièrement préoccupants en matière de liberté religieuse”.
“Dans trop d’endroits à travers le monde, nous continuons de voir des gouvernements harceler, arrêter, menacer, incarcérer et tuer des personnes simplement pour leur volonté de vivre leur vie en accord avec leur croyance”, a indiqué Antony Blinken.