“Le rapport Stora ne prend pas en compte la principale demande historique des Algériens, la reconnaissance par la France des crimes commis par la colonisation. Il ne s'agit ni de repentance, notion étrangère aux relations entre Etats, ni de fonder une mémoire commune, les deux pays étant héritiers de deux mémoires antagoniques sur cette question. Pour le reste, chacun doit assumer son passé et les deux Etats sont tenus de mettre en place les conditions d'une relation apaisée et tournée vers l'avenir.”