Liberté Éditorial

LES ÉDITOS

  • La faille numérique !

    Le blocage des réseaux sociaux lors des épreuves du baccalauréat a provoqué la plus grande colère nationale.

  • Tous les chemins mènent à Bouteflika

    “Sous le règne de Bouteflika, il n’y avait ni pouvoir judiciaire ni pouvoir législatif. Le seul pouvoir existant était celui du président. Il savait tout. Je ne faisais qu’appliquer ses directives.” Lorsqu’il y a un peu moins d’une année

  • La preuve par neuf

    S’il fallait chercher une preuve à l’échec retentissant du système de gouvernance du pays depuis l’indépendance, il suffit de s’attarder sur le phénomène de la harga qui donne à voir un désastre à ciel ouvert.

  • Rupture…

    Les mystères et polémiques, futiles et inutiles, autour de quelques quotas d’importation de véhicules neufs, dénotent à quel point les logiques de gouvernance en vigueur et les comportements sociaux qui en découlent

  • Déficit mémoriel

    Le rapport Stora sur les questions mémorielles portant sur la colonisation et la guerre d’Algérie a soulevé un immense intérêt des deux côtés de la Méditerranée.

  • Histoires...

    Malgré les petits pas vers “l’apaisement”, pour reprendre le terme consacré dans les relations algéro-françaises souvent rattrapées par la question mémorielle qui les mine et les régule,

  • Se noyer dans un verre d’eau

    La santé économique et sociale de l’Algérie continue à fortement se détériorer. L’enjeu, ici, n’est surtout pas de verser dans la sinistrose, l’alarmisme et le défaitisme…

  • Brasier social

    Pas besoin de sortir de Saint Cyr pour comprendre que la société, mise à rude épreuve par une crise sans précédent, couve un véritable brasier social qui menace d’exploser à tout moment.

  • L’exemple tunisien

    Confinée comme de nombreux pays confrontés à la pandémie de coronavirus, la jeune République tunisienne n’a pas célébré, comme certains l’auraient souhaité, le dixième anniversaire de sa “révolution du Jasmin”.

  • L’or du changement

    L’indignation provoquée par les aveux d’Ahmed Ouyahia ne retombe pas et à raison.

  • L’extrême urgence d’agir

    Ce n’est un secret pour personne que la situation économique du pays est plus que vulnérable, aggravée par l’inédite crise sanitaire qui marquera pour longtemps de son empreinte la vie nationale.

  • Le champ des possibles

    À partir d’aujourd’hui, votre quotidien accueille dans ses colonnes le célèbre écrivain Kamel Daoud qui, deux fois par mois, raconte l’Autre Algérie. Celle à laquelle les Algériens aspirent. L’Algérie contrariée

  • Signes avant-coureurs

    Le grognement est encore sourd, mais il témoigne sans doute du grand malaise social qui touche de larges pans de la population.

  • Déliquescence

    L’histoire pour le moins ahurissante des lingots d’or d’Ouyahia va sans doute avoir des prolongements et des implications très lourdes sur le devenir institutionnel de l’Algérie.

  • Sales besognes !

    L’aveu lâché par Ahmed Ouyahia devant le tribunal a eu l’effet d’une bombe… à fragmentation. Choqués au plus haut point, les Algériens n’en reviennent pas.

  • Des lingots pour quelle contrepartie ?

    Le mal fait à l’Algérie par le système Bouteflika continuera d’impacter la vie nationale pour longtemps. Jamais, depuis l’indépendance du pays, un règne n’a été marqué par une telle expansion de la grande corruption

  • Du texte et de la volonté politique

    La perspective de la tenue d’élections anticipées se précise de plus en plus. À peine rentré au pays après une longue hospitalisation, puis une tout aussi longue convalescence en terre germanique des suites de sa contamination par la Covid-19,

  • Goumeziane et le mal algérien

    La disparition de Smaïl Goumeziane, éminent économiste et intellectuel de renommée – loin de son pays, lui le “Fils de Novembre” – vient rappeler tristement toute l’étendue du “Mal algérien”.

  • Délit de conscience

    La condamnation à trois ans de prison ferme de Walid Kechida, blogueur, faiseur de mèmes, de simples dessins tout à fait inoffensifs et drôles qui rendent humoristiquement compte du malaise général que nous vivons tous

  • Le prix de la confiance

    La justice a eu la main lourde : le jeune internaute Walid Kechida, en détention depuis huit mois, a été condamné hier à trois ans de prison ferme assortie d’une amende. Son tort ? Publication des “mèmes”

  • Le ver était dans le fruit

    Le chantier de l’autoroute Est-Ouest traîne en longueur 15 ans après son lancement tambour battant.

  • Une supercherie !

    L’acquittement prononcé hier par le tribunal militaire de Blida scelle définitivement la fin de l’ère de l’ancien chef d’état-major, le défunt Ahmed Gaïd Salah. Son héritage vole en éclats.

  • Une page à tourner…

    Tourner la page de l’année qui vient de s’écouler n’est sans doute pas chose aisée. D’autant qu’à bien des égards, celle qui vient de commencer n’en sera que le prolongement. Du moins dans sa première partie.

  • Editorial Un air de "LIBERTÉ" s’en va

    Aujourd’hui, vous avez entre les mains le numéro 9050 de votre quotidien Liberté. C’est, malheureusement, le dernier. Après trente ans, Liberté disparaît du paysage médiatique algérien. Des milliers de foyers en seront privés, ainsi que les institutions dont les responsables avouent commencer la lecture par notre titre pour une simple raison ; c’est qu’il est différent des autres.

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    Abrous OUTOUDERT Publié 14 Avril 2022 à 12:00

  • Chroniques DROIT DE REGARD Trajectoire d’un chroniqueur en… Liberté

    Pour cette édition de clôture, il m’a été demandé de revenir sur ma carrière de chroniqueur dans ce quotidien.

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    Mustapha HAMMOUCHE Publié 14 Avril 2022 à 12:00